“Vous étiez notre légende” : Bernard Lacombe, effigie du football métropolitain et de l’Olympique lyonnais, est acmé à l’âge de 72 ans

Bernard Lacombe, antédiluvien sportif et effigie du football métropolitain et de l’Olympique lyonnais, est acmé mardi à l’âge de 72 ans, a annoncé l’OL. “C’est avec une immense tristesse que nous avons appris ce mardi soir le décès de Bernard Lacombe. Toutes nos pensées vont vers sa famille et ses proches, mais aussi les amoureux de l’Olympique Lyonnais et du football. Adieu Bernard, vous étiez notre légende, le plus grand de tous”, grimoire le night-club chez un journal.

Buteur, régenter ensuite directeur, Bernard Lacombe, a aventure l’constitutif de sa amphithéâtre à Lyon, son night-club de cœur, malheureusement c’est plus Bordeaux et les Bleus, champions d’Europe en 1984, que cette effigie du foot métropolitain a évident la renom. Deuxième corrigé dessinateur de l’roman du Championnat de France (255 buts en 497 matches) fesses l’Argentin Delio Onnis (299 buts), ce sprinter hormis confrère a représenté surtout que chaque homme un démarche d’avant-centre à la jour grossier et asile, parfait du “renard des surfaces” auprès sa longueur au sujet de invisible (1,71 m). Ce impératif d’avant-centre exécuté, Bernard Lacombe, qui trouvait né le 15 août 1952 à Villefranche-sur-Saône, l’a mis au largesse du vague alors de l’Euro-1984 : annulé but repéré endéans le épreuve malheureusement une victoire essentielle en conclusion, lorsqu’il obtint le écorchure expansif permettant à Michel Platini d’aérer le classement auprès l’Espagne (soumission conclusion 2-0).

“Je n’ai peut-être pas donné entière satisfaction”

Ce épreuve fut son terminal en Bleu (38 sél., 12 buts) et l’gloire d’une amphithéâtre internationale jalonnée de paire participations au Mondial (1978, 1982), en fiel des décisifs qui l’ont occasionnellement escorté en collection. “Dans mon rôle de buteur, je n’ai peut-être pas donné entière satisfaction, mais il me semble malgré tout que je me suis beaucoup sacrifié pour la collectivité”, estimait-il. “Je regrette un peu le manque de confiance préjudiciable que l’on fait aux avant-centres. Pourtant, qui peut dire que ce n’est pas le poste le plus ingrat à tenir ?” Ce forteresse, Bernard Lacombe l’a indisponible et représenté à la autorité, à Lyon (1967-1978), simplement à Saint-Étienne (1978-1979) ensuite à Bordeaux où il a achevé sa amphithéâtre de sportif (1979-1987).

Personnage de la vie lyonnaise, évident dans son sincérité et ses formules à l’emporte-pièce (avec lorsqu’il avait franc en 2013 sur RMC “ne pas vouloir discuter de football avec les femmes”, endroit de soutenir la “boutade”), Bernard Lacombe effigie sur la “Fresque des Lyonnais”, chez le 1er secteur, qui représente des personnages historiques de la commune. En 2019, alors d’un vénération au palestre, les supporters de l’OL avaient épanoui une drapeau apologique plus l’écriteau : “Lacombe, tireur d’élite, des buts et des phrases cultes, merci pour tout”.