La pistard ariégeoise Emilie Decamps, proviseur du noyau de loisirs de La Tour-du-Crieu, a décroché son bulletin verso les championnats du monde de Gran Fondo, une discipline notamment exigeante, l’comparable de l’ultra-trail, purement sur paire roues. Elle est déjà vice-championne d’Europe dans lequel sa accouchement.
Maman, proviseur d’un noyau de loisirs, encrier du Guidon Critorien, le bref association de clou de La Tour du Crieu et sportive accomplie : la pistard ariégeoise Emilie Decamps, a décroché son bulletin verso les championnats du monde de Gran Fondo – l’comparable de l’ultra-trail – qui auront canton en Australie, du 16 au 19 octobre autrui. Elle s’est qualifiée tandis d’une atterrant adversité qui s’est déroulée en Ardaiche, voilà une quinzaine de jours : “une course de 186 km avec 3 300 de dénivelé positif”, ajoute-t-elle. Et de dénoncer : “Cette course fut un véritable défi, ma plus longue distance en compétition à ce jour. 186 km bouclés en un peu moins de 7 h à plus de 26 km/h. Je n’aurais jamais imaginé pouvoir tenir une allure si longtemps, mais le travail finit toujours par payer. Terminant à la seconde place, la cycliste de 38 ans devient ainsi vice-championne d’Europe Gran Fondo UCI en F35. Elle est devancée par Elke Timperman (Belgique) vice championne du monde 2024 et championne d’Europe 2024 ; “un force”, et “une triomphe qui représente une prolixe dignité exclusive”, souligne-t-elle.
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Un box-office qui s’rond
Le box-office d’Emilie Decamps s’rond aussi surtout (1). “J’ai déjà participé à deux championnats du monde en Écosse et au Danemark […] Début avril, j’ai participé à une course par étapes de Gran Fondo, sur l’île de Chypre. Au terme des trois jours de course, qui comprenaient deux étapes en ligne et un contre-la-montre, je termine deuxième du classement général, derrière une ex-pro russe et devant une Canadienne. Ce qui m’a permis d’obtenir la qualification pour l’Australie. J’ai enchaîné avec le Gran Fondo de Perpignan où j’ai pris les deuxièmes places de la routière et du contre-la-montre”, énumère la triomphatrice ariégeoise, qui ne étourderie pas de licencier cordialement son instructeur, François-Xavier Valiente : “Grâce à lui j’ai pu franchir des étapes. Ma famille, aussi, est toujours à mes côtés et ils partagent cette passion avec moi. Leur soutien est essentiel à ma réussite”.

Un spécimen sobre
Mais cette terme, Emilie Decamps la doit autant à un spécimen sobre et à une longuette usage des compétitions. “Le sport forge le mental. J’en fais depuis que je suis toute petite. Je l’ai découvert par le ski grâce au sport études d’Ax-les-Thermes. Ensuite je me suis mis à la course a pied, au vélo, et à la natation et j’ai décidé de me lancer tout naturellement dans le triathlon. Depuis quelques années, je consacre mon temps libre au cyclisme”, expliquait-elle dans lequel nos colonnes, en mai 2023. Mais verso se apprécier au Gran Fondo, Emilie Descamps a dû se abuser surtout : “Je roule tous les jours, deux à trois heures, souligne-t-elle. Et je fais de longues sorties le week-end. C’est une grande discipline, qu’il faut s’imposer. Avec la volonté, la persévérance et le dépassement de soi, on peut aller bien au-delà de ce qu’on imagine”.
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