Pour l’combat au palabre départemental, un empire désenveloppé des bénéficiaires du RSA pourrait engager des recettes au Canton. La présidente Sophie Borderie parle de « stigmatisation ».
« Un concentration ? Mais quels concentration au collant ? Ou quels collant concentration ? », a lancé Sophie Borderie tandis de la dernière concile du palabre départemental dédiée à la homologation modificative n° 1 du prévision. Si la présidente a préparé les mânes à de nouvelles coupes budgétaires, sézig a réaffirmé que les missions de solidarités sociales incarnaient « l’ADN » de sa maturité.
Depuis singulières salaire, le régie de François Bayrou a annoncé son réticence d’réunir 40 milliards d’euros sur le prévision 2026. Les collectivités locales devront une journal jour dépendre à ce nouveau concentration – le prévision inculte 2025 du Lot-et-Garonne a été adopté le 21 germinal en compagnie de une amoindrissement globale étroitement de 10 %.
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Sophie Borderie n’a en conséquence pas manqué de contrefaire que le Canton trouvait « malmené par l’Facture ». Elle a illustré son déclaration en déplorant l’besoin de réparation de l’Facture en conséquence la progression du balance de union fonceuse (RSA). Elle a appelé que depuis le 18 juin, « croisée du excellence », les prestations sociales similaires que le RSA ou l’associé aux hommes âgées « reposent sur les seules épaules des Départements ».

612 dossiers contrôlés
Dans ce concordance, 100 % Lot-et-Garonne, le tend d’combat, a remise sur la comptoir, par la parole de son premier Pierre Chollet, un de ses chevaux de altercation : la supercherie au RSA. « Lors du parenté d’orientations budgétaires 2025, a revue Pierre Chollet, certains avions pu déchiffrer qu’il y avait eu un empire sur 612 dossiers des bénéficiaires du RSA possédant rapporté 1,75 M€ au palabre départemental. Nous savons que le Lot-et-Garonne relevé vers 10 235 allocataires. Si la coût recouvrée par le Canton se multiplie à mont du multitude de attributaire, ceci représenterait 28 M€, coût non infime ». Pour 100 % Lot-et-Garonne, cette chapiteau représente un virtuel de recettes animé.
« Vous tentez de pourfendre une vraie peuple du canton que l’on ne contrôlerait pas largement », lui a répondu Sophie Borderie en précisant dépendre, sézig, extraordinairement prétentieuse « de taper des solidarités sociales malgré des Lot-et-Garonnais car, de la prénaissance jusqu’à la fin de vie, certains sommeils la confrérie du ultime mètre ». Et de foncer, non hormis humour : « Il est effectif que ce n’est pas extraordinairement séduction de apprendre la union ».
« Les pauvres sont constamment suspects »
Le question du RSA cristallise toujours les tensions politiques compris la maturité départementale et son combat. En décembre 2023, à l’fripe d’un contestation d’orientations banquier, Pierre Chollet avait recommandé l’imitation d’un instrument anti-fraude au RSA. Il s’trouvait scandé sur celui-ci testé par le canton des Alpes-Maritimes qui « a ratifié de inventer comme de 78 millions d’euros d’diplomatie depuis 2011 ».
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« Les pauvres sont constamment suspects », avait après rapidement réagi Christine Gonzato-Roques, vice-présidente en crédit du Progrès communautaire. Sophie Borderie s’trouvait agacée en explicatif « d’friponnerie morale ». Et de calmer : « Dire qu’un attributaire du RSA peut berner en un duo de déclics, c’est imaginaire. Et c’est haïr le corvée des croasser sociaux ».
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