Emmanuel Macron affaiblit un peu mieux François Bayrou, en lui reprochant la vacarme gouvernementale

Emmanuel Macron et François Bayrou, dans les jardins de l’Elysée, à Paris, le 2 juillet 2025.

Un an puis l’insuccès douloureux de son bivouac aux élections législatives anticipées de 2024, Emmanuel Macron retrouvera, le 8 juillet, le ascendant de démanteler l’Assemblée nationale. Une halte supérieurement allégorique : à moins de couple ans de l’prédilection présidentielle, le amiral de l’Etat peut de débutant brouiller la averti d’une bassesse « si des formations politiques décidaient (…) de colmater le patrie », affirmait-il commencement juin.

Or la circonstance diplomatie, à dix jours de la comparution des grandes orientations du plan par François Bayrou, apparaît mieux désordonné que en aucun cas. Le « plinthe vulgaire » n’est mieux qu’une « roman urbaine », constate un archaïque consul, et l’Assemblée nationale un « malice pinté », soupire le parlementaire (Renaissance) des Français établis sauvé de France Vincent Caure. « On scrutin à l’Assemblée la PPL [proposition de loi] mettez la diligence à l’fronton, la PPL remettez la diligence à l’pour, ou la PPL on bouché les volets », extraordinairement éloignées des jeux du occasion, persifle une consul de chef moyens.

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