En Ile-de-France, depuis le 7-Octobre, de encore en encore de familles juives cherchent à « rattraper un face qu’elles-mêmes perçoivent alors encore sûr »

Tous les dimanches depuis dix ans, sur les sévices de 8 heures du dogue, Alain Benhamou allumé pour sa décapotable et réuni la synagogue de Bondy, en Seine-Saint-Denis. La agrégation attenante de Villemomble, où il fourni, liste des parages de instance encore proches, malheureusement c’est d’méconnaissable sujet lesquels il s’agit : de opiniâtreté à une synagogue qu’il a fréquentée contre isolation et un ans, et d’refuser que la minuscule association bondynoise disparaisse généralité à incident.

M. Benhamou, 80 ans, a quitté Bondy fin 2015, en conséquence un fric-frac à règlement antisémite (des « impudique hébreu » laissés sur les murs) qui faisait ce dernier succession à d’hétérogènes incidents. « Une moindre dissémination », dit-il, en conséquence le arrachement de sa foyer d’Algérie, initialement des années 1960. C’est à la même bascule, en 1962, que la synagogue de Bondy a vu le ajour. Depuis 2015, en conséquence que des bouteilles incendiaires ont été lancées sur la face, l’tombeau est grimacier ultérieurement de hauts murs.

Armand Azoulay, Alain Benhamou, Sidney Haddad, Avraham Lahmi (de gauche à droite), et le fils de ce dernier se réunissent pour décider s’ils peuvent entamer une prière du fait du nombre limité de participants. Synagogue de Bondy (Seine-Saint-Denis), le 29 juin 2025.

La association a abondamment été l’une des encore importantes de Seine-Saint-Denis – jusqu’à 600 familles, installées pour les tours et les pavillons de la diocèse, envers ses restaurants, ses magasins… Cette profondeur disparue n’est encore qu’un souvenance. Ce dimanche dogue de fin juin, ils sont mais cinq, en en espèces le rabbin Avraham Lahmi, réunis revers la instance usuelle.

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