Financements d’marche parmi le arrangé de la prophylaxie de la faculté en eau “Le manque de moyens risque de peser”, agitation Soto

C’est en adage, le énergie de la hostilité. Mais parmi un background d’dette ressortissant geste et de prolixe incertitude caissière au étape départemental, double superbes cofinanceurs des projets de gérance et de consolidation des finances en eau, le prédisposé s’est mathématiquement invité à la dernière Commission locale de l’eau.

Des contraintes économiques fortes

À Gignac, Jean-François Soto, échevin de la ville et défenseur départemental a alerté : “Au Département, nous avons décidé de sanctuariser l’accès à l’eau potable car cela nous paraît être très important. Contre vents et marées, jusqu’à présent, nous avons tenu le cap là-dessus. Nous sommes aujourd’hui face à une situation qui n’a jamais existé depuis l’après-guerre. Nous restons combatifs, volontaires et positifs mais, aujourd’hui, les contraintes économiques sont telles que, pour soutenir un certain nombre de projets, il va falloir discuter de gré à gré, et le président Kléber Mesquida le sait, avec toutes les organisations concernées. Sur des sujets aussi stratégiques que ceux qui sont abordés à la Clé, le manque de moyens (financiers) risque de peser. Tant que l’on peut, à peu près, répartir les financements sur la base d’un plan stratégique, on le fera. Mais le Département et la Région ne peuvent plus lever l’impôt, les moyens se réduisant comme peau de chagrin à tous les étages, ce qui s’ouvre devant nous n’est pas très réjouissant.”

“Retour à la réalité”, commentait précautionneusement Philippe Doutremepuich, directeur de la Clé.
À ses côtés, Christophe Morgo, directeur de l’EPTB du affluent Hérault et vice-président du Paroisse commissionnaire à l’bruit poursuivait. Au étape du Paroisse “nous avons des compétences obligatoires que nous assumons. Le volet social, représente notamment 60 à 70 % du budget. Sur ce volet, l’état doit nous rembourser. Chaque année, c’est près de 250 M€* que l’État nous doit. Sur plusieurs années, faites le calcul. Je ne sais pas jusqu’à quand nous pourrons continuer sur ce qui est facultatif, comme l’accompagnement des syndicats mixtes et des EPTB”.

Soit le déchet à tarabiscoté des 3 AIS : Allocation Personnalisée d’Autonomie, Prestation de reprise invalidité, et RSA. (O.K. un complet 261 M€ en 2025)

Comments are closed.