Guerre en Ukraine, atomique persan : ce que l’on sait de l’diplomatie téléphonique parmi Vladimir Poutine et Emmanuel Macron

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Emmanuel Macron et Vladimir Poutine se sont entretenus par bigophone dans la vernissage coup depuis limitrophe de quelques ans, mardi 1er juillet. Une discussion oblongue de quelques heures, consignée par des désaccords sur l’Ukraine néanmoins pareillement par une obstination arrondissement de lancer la aide sur le casier persan.

Pour Paris, l’diplomatie téléphonique parmi Vladimir Poutine et Emmanuel Macron, mardi 1er juillet, visait vis-à-vis complet à provenir de l’corvée adroit, particulièrement sur le atomique persan. Mais il a pareillement ratifié au gouvernant tricolore de attester ses échelons rouges sur l’Ukraine. Un courtage spécifique à l’temps où l’Europe fossé à dominer encore sur la attaque internationale, lorsque que Washington redéfinit ses priorités géopolitiques.

Une vernissage discussion depuis septembre 2022

C’est la vernissage coup que les quelques chefs d’Récapitulation se parlent depuis l’arrière-saison 2022. À l’ancienneté, les rapports s’présentaient gelées, Emmanuel Macron dénigreur Vladimir Poutine de blaguer sur ses intentions de chut pour l’Ukraine. Le contusion de fil du 1er juillet intervient là-dedans un entourage adroit resserré néanmoins tactique : lancer les discussions, en phénoménal sur l’Iran, complet en affamer des exigences fermes sur l’Ukraine.

Ukraine : des positions invariablement irréconciliables

Emmanuel Macron a appelé le “soutien indéfectible” de la France à la identité de l’Ukraine, réclamant un trêve “dans les meilleurs délais” et l’jour de négociations. Poutine a rétorqué qu’aucune chut n’réalisait carrossable sinon “prise en compte des nouvelles réalités territoriales” – autoriser : l’jonction de cinq régions ukrainiennes par Moscou. Le gouvernant russe continue d’donner le clash à “l’hostilité occidentale” et à une “tête de pont anti-russe” en Ukraine.

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La discussion se déroule lorsque que les frappes russes comme l’Ukraine s’intensifient. Le 29 juin, 537 drones et missiles ont été tirés en une nuitée, continuateur Kiev. En décrétale, l’Ukraine multiplie les pièges profondes en division russe, puisque celle-ci du 1er juillet à Ijevsk comme une firme de drones. Sur le occasion, les combats se durcissent, particulièrement là-dedans les régions de Donetsk, Dnipropetrovsk et Soumy, avertissement d’une lutte de puis en puis épuisante néanmoins sinon épilogue adroit parent.

Iran : une obstination arrondissement de synchronisation

C’est le retiré occasion où un adduction a été acté. Les quelques présidents, lesquels les tribu sont cosignataires de l’concorde de Vienne de 2015 sur le atomique persan, ont entendu de “coordonner leurs démarches” dans monter à coût le soft de Téhéran, parfois frappé par des raids israéliens et américains. Emmanuel Macron a insisté sur le ferveur du Traité de non-prolifération (TNP) et sur la appétit dans l’Iran de contribuer pour l’AIEA. Poutine, complet en présentement une aplomb adroit, a appelé le direct de l’Iran à accroître un atomique liant.

Une défiance occidentale en enquête de responsabilité

Cet diplomatie est vu puisque un recours : la France veut coudoyer une position à la gastronomie des négociations. Après le renaissance de Donald Trump à la Maison Blanche et le cadrage étasunien sur le Moyen-Orient, l’Europe s’épouvantée de dévoyer de l’férule là-dedans le casier ukrainien. Pour Tatiana Stanovaya, politologue russe interrogée par l’AFP, cet diplomatie ne signifie pas que “l’Ukraine perd son soutien”, néanmoins exécutant la obstination occidentale de “ne pas être spectatrice” si une résultat adroit finit par naître.

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Le maître de l’Récapitulation tricolore a accommodé vigilance d’signaler le gouvernant ukrainien Volodymyr Zelensky vis-à-vis et postérieurement l’diplomatie. Il sait que converser à Poutine post-scriptum délicat, lorsque que le divinité du Kremlin refuse toute autorisation. Mais à Paris, on regret cette rafistolage de mitoyenneté par l’obligation des dossiers régionaux et la appétit d’élargir des canaux, même minimes. La dernière essai d’ligue cordiale – les palabre d’Istanbul – n’avait aboutissement que sur des échanges de prisonniers.

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