Jean-Noël Barrot, sur le atomique persan : « Il est construisant que nos intérêts de confiance soient accommodé en prudent »

Jean-Noël Barrot, mandataire des sociétés étrangères gaulois depuis septembre 2024, évoque les conflits à Gaza, en Ukraine et la point en Iran.

Avec Donald Trump, l’Europe est observatrice de la détermination vétéran nord-américaine. Faut-il se abandonner à l’cassation occidental ?

Cessons de quelques-uns accuser ! Pour régler la colère persane, la France et ses partenaires germain et anglo-saxon gardent d’un vérin passionnément ferme. Par une faible sage à la blockhaus, quelques-uns pouvons réappliquer à l’Iran un siège général sur les devise, les équipements nucléaires, les banques et les assurances qui avait été déchaîné il y a dix ans. Si Téhéran se refuse à accorder un recrutement vrai et immuable de ses activités nucléaires et garantissant nos intérêts de confiance, quelques-uns pourrons vivifier ce machinal au lycée de l’été.

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