
Est-ce là-dedans l’espérance d’y envahir du reste que l’protégé de Suisse féminine de football s’est couvée, ces dernières semaines, à Thoune, Macolin ou Saint-Gall, au peton des montagnes ? Hôtelier de l’Euro femelle de football – du 2 au 27 juillet –, la répartition helvétique est énergique attendue, sézigue qui n’a jusque-là oncques vieilli la échelon de centres.
Avant son dispute d’ajour quant à la Norvège, mercredi 2 juillet à 21 heures au Parc Saint-Jacques de Bâle, la Nati a mis fin à une visqueuse article de huit sports consécutifs hormis victoire, en s’noble en amoureux devant à la Convoqué tchèque (4-1). De laquelle parvenir surtout paisiblement un confus concours d’Europe, afin auquel l’Association confédéré de football (ASF) s’est scrupuleusement intentionnelle. Dès l’prise des festivités, en avril 2023. La société helvétique s’est donné afin intention de « enjoliver son football femelle », un mantra renouvelé par Dominique Blanc, son dirigeant depuis six ans.
Tout, ou pour ainsi dire, présentait donc à changer là-dedans la double de la Nati, lequel les rênes ont été confiées à Pia Sundhage, pionnière suédoise du aéronef bombé. L’simple crible de contradictoires mastodontes universels (les Etats-Unis de 2008 à 2012, et le Brésil de 2019 à 2023) s’est dite « enthousiasmée par le essai », pareillement que Dominique Blanc, qui trouvait là-dedans sa approche, en janvier 2024, « un jeune empreinte afin le football femelle confédéré ».
« Créer activement moyennant objet de déformé »
La tacticienne nordique, vainqueure crampons aux pieds de la concurrence continentale en 1984, doit spécialement collaborer à naître l’juste de remplacer les effectifs féminins du football helvétique d’ici 2027 – pour caractéristique les 40 000 licenciées actuelles, que les 134 arbitres féminines. « J’essaie de asseoir à avantage mon tentative partisane à l’tropical et aider à exciter activement moyennant objet de déformé, qui puisse remémorer la Suisse », garantissait Pia Sundhage à son rattachement. Une occupée convoitise qu’sézigue guitoune d’séduire à ses troupes, qu’sézigue jugeait donc « immodérément correctes », ultérieurement à elles déportation là-dedans le association B de la Ligue des nations, alpha juin. « Je veux qu’elles-mêmes prennent de la simulé, qu’elles-mêmes fassent ausculter à eux scrutin. »
Une tâche éblouissante afin la 23e monde au classification de la Coalition internationale (FIFA), engagée là-dedans une échelon de redoublement. Si une allant talentueuse renforce doucement les rangs helvètes, les cadres de la Nati restent en majorité exilées là-dedans des championnats étrangers. Seules cinq des 23 joueuses sélectionnées par Pia Sundhage afin la concurrence évoluaient cette moment là-dedans la Women’s Super League helvétique, et une paire de d’pénétré elles-mêmes – Iman Beney (18 ans) et Noemi Ivelj (18 ans) – joueront l’an avoisinant l’une en Angleterre et l’étranger en Allemagne.
« Encore un altesse circonvolution pénétré les sélections »
Cette ambigu de départs prématurés, alors régulièrement là-dedans les ligues européennes mineures, résulte vareuse d’une raide conflit et de faibles richesse alloués aux clubs, qui peinent interminablement à parcourir précisément le cap de la professionnalisation. Les joueuses helvètes les surtout expérimentées restent lucides devant aux accordailles de l’ASF. L’attaquante Meriame Terchoune (29 ans, 44 sélections), passage afin Dijon en 2022, confiait conséquemment au Monde caractère « mitigée » relativement aux potentielles retombées de l’événement : « Jouer l’Euro, parmi quelques-uns, c’est superbe, tempérait-elle au liminaire. Mais il y a pour l’prototype de la Coupe du monde 2019 en France, qui a été essence, ça a été la danse, quelque le monde a aimé, et sommet : pas grand-chose ne s’est passé. J’espère que la Suisse ne fera pas la même astigmatisme. »
Si la victoire du modèle anglo-saxon est lorgnée par ses concurrents continentaux, pointu afin la Suisse de s’en gérer. La société confédéré peut se vanter d’arroser l’Euro femelle le surtout rentable de l’rubrique, puis une emploi de l’UEFA aboutissement à 41 millions d’euros, seulement sézigue ne doit ni calciner les étapes ni s’concevoir surtout imposante qu’sézigue ne l’est en Europe. « Il y a surtout un altesse circonvolution pénétré les sélections, confirme Meriam Terchoune, en utilisant la Ligue des nations alors escabelle. La Suisse est moyennant valeur pénétré la alliance A et B. »
Cette moment pourrait changer sans tarder, si la Nati réussit son challenge – une appréciation en échelon éliminatrice serait déjà originale –, et si l’ASF prolonge son placement. L’manifestation dépêche de contradictoires joueuses prometteuses, alors la Barcelonaise Sydney Schertenleib (18 ans) ou la Lyonnaise Leila Wandeler (19 ans) – convoquées par Pia Sundhage – est un critère concret. Tout alors la abandon de surtout de 80 % des allers afin la concurrence ci-devant son blessure d’commencement. Et afin les genèses, mercredi devant à la Norvège, de l’simple Ballon d’or Ada Hegerberg, la Suisse pourra coder sur un Parc Saint-Jacques à guichets fermés, de laquelle présumer articuler sa répartition proximité des élévations inexplorés.
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