Pendant interminablement, les adeptes du service-volée ont été parmi eux à Wimbledon. Rod Laver, John McEnroe, Boris Becker, Stefan Edberg, Pete Sampras ou Martina Navratilova, à cause le épreuve femelle, avaient coïncidence de l’périmètre du All England Lawn Tennis and Croquet Club à elles filetage obtenue. Surface la surtout éveillé, l’pelouse récompensait les surtout imprudent, ceux-ci qui se ruaient à l’effraction. « Wim » se gagnait à la peignée, pas lointain.
« Le sursaut voyait si bas et la boule fusait beaucoup que c’voyait la personnelle stratégie assimilable », se souvient Patrice Hagelauer, vieux supérieur produire habitant de la Alliance française de tennis, qui a équitablement affairé cette empressement malgré de la Alliance anglais de 1998 à 2002. Bien sûr, il y eut des exceptions. Grâce à la autorité de à elles retours et de à elles passing-shots, Björn Borg ou Andre Agassi ont comme marqué de à elles seing l’légende de « The championships » (« Les championnats », l’un des surnoms de Wimbledon).
Et plus, à éloigner de l’été 2002, somme courtage. Un griffure d’œil au hit-parade des un couple de dernières décennies suffit afin s’en rembourser calculé. Depuis cette quantième, à cause le écriteau géniteur, Novak Djokovic s’est imposé sept jour, Rafael Nadal et Carlos Alcaraz chaque homme à un couple de reprises. Et ni Roger Federer (huit victoires) ni Andy Murray (un couple de triomphe) ne peuvent idée considérés identique de « vierges » serveurs-volleyeurs, car ils incarnaient comme de grands défenseurs. Le nouveau ludique à s’idée imposé à Londres en constant l’effraction à tout-va habitat Goran Ivanisevic, en 2001.
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