
Le challenge femelle et géniteur du sinuosité cosmopolite met aux prises des équipes venues du monde complet.
Pour arroser ses 20 ans d’être, le Beach Masters, construit en 2005, est de répétition au Parc de la Rauze, sur les installations du Montpellier Beach-volley.
Une obstination exposée par les organisateurs de réintégrer aux eaux : “L’avenir du beach-volley passera par la structuration des clubs, explique Stéphane Canet, figure du beach-volley montpelliérain et directeur du tournoi. Quand on a organisé la Coupe d’Europe des clubs en septembre dernier, ici même, la fédération européenne (CEV) nous a pris en exemple. Nous voulons proposer un événement rentable afin de nourrir le club. Avec l’aide de la ville de Montpellier, les terrains ont été rénovés, il y a en a deux nouveaux. Le Beach Masters aura donc un impact positif sur notre capacité à attirer plus de monde, organiser des tournois et des stages…”
Dans l’air du étape, le Beach Masters se veut écoresponsable en émouvant ses quartiers sur un secteur allégorique de la exercé à Montpellier puis dissemblables années sur la empressement Georges-Frêche : “Quand on investit dans l’événement, cela sert toute l’année, poursuit Stéphane Canet. Tout le sable qui était sur le parvis de l’Hôtel de ville a été étalé sur les terrains, les lumières sont aux normes internationales… Nous sommes dans une forme de développement à long terme.”
“Devenir un événement majeur”
Le Montpellier Beach-Volley souhaite que les 20 premières années construisent les 20 prochaines : “Nous n’avons plus besoin de faire naviguer le Beach Masters pour faire connaître la discipline. À Montpellier, le beach-volley est connu, le club aussi. On a 500 adhérents, autant de filles que de garçons… L’important est de se concentrer sur la structuration du club et l’évolution vers le haut niveau.”
Ainsi, l’publication 2025 accueille, à fuir de jeudi quant à les qualifications et vendredi quant à le inscription suprême, un challenge Future, le inconnue hiérarchie cosmopolite, femelle et géniteur : “On a la capacité à l’avenir d’organiser un Challenge (2e niveau) et un Élite 16 (1er niveau). Nous avons la volonté de devenir un événement majeur du circuit international.”
Une wild card qui aventure du tapage
Le Montpellier Beach-Volley, night-club entraîneur du Beach Masters, a distribué quatre invitations : “On a mis en place deux types de wild card, celle de l’avenir et celle de l’héritage, explique Stéphane Canet. Chez les féminines, la paire féminine Ophélie Lusson – Alex Merle et la paire masculine Noah Burlas – Théo Marty représentent la nouvelle génération. De leur côté, Déborah Giaoui (45 ans) et Michaela Formankova (39 ans) multiples championnes de France joueront ensemble. Chez les garçons, Quincy Aye a participé huit fois au Beach Masters, ce sera son jubilé. Il sera associé à Jérôme Brysse, alias Le Volleyeur Français, qui a un gros impact médiatique envers les jeunes.”
Et c’est là que le bât blesse vu qu’une plainte de joueurs gaulois a été partie quant à ravager l’adjudication de cette wild card à l’influenceur qui n’a aucune source entre la discipline. “Je ne comprends pas les gens qui font des polémiques. Ceux-là ne se sont même pas inscrits au tournoi”, pusillanime Canet qui assume son emprunt.
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