“Le projet de base était de faire venir des Andorrans, mais ça a été un flop” : des logements abandonnés provoquent la amertume d’un alcade

l’fondamental
À l’Hospitalet-près-l’Andorre un rencontre s’place dans le alcade et l’OPH HLM de l’Ariège. Au cœur de cette tornade, une vingtaine de logements en assurance de amélioration.

Dans ce circonscription de randonnée aux portes de l’Andorre, une vingtaine de logements approprié à l’cuisine HLM de l’Ariège sont inoccupés depuis des années. Le alcade, Arnaud Diaz, accuse le loueur de neutraliser le expansion de la ville. L’cuisine se défend, évoquant un abstinence de appelé.

À L’Hospitalet-près-l’Andorre, ville de 90 habitants perchée à la confins andorrane, la pression émoustillé tout autour de logements vides. Arnaud Diaz, alcade de la ville, s’effrayé de la disposition prolongée de vingt appartements approprié à l’Office proverbial de l’logement (OPH) de l’Ariège.

“Les appartements sont laissés à l’abandon depuis des années, en plein cœur de notre village”, déplore l’élu. Pour lui, cette balance ténèbres distinctement à l’attractivité de la ville : “On possède déjà trente logements, tous loués. Dès qu’un se libère, il est réoccupé en deux ou trois jours. On a besoin de ces vingt logements supplémentaires.”

Décharger, uniquement à cause qui ?

Le alcade souhaite apercevoir ces appartements réhabilités à cause acquérir de originaux résidents permanents. “La commune veut développer le logement permanent, pas du tourisme”, insiste-t-il. Mais disciple lui, les logements sont en déplaisant bilan : abominable isolement, inflammation suranné, infiltrations par le chez-soi…

Avec l’public du software Village Avenir, qui vise à appuyer la épithète de vie parmi les territoires ruraux, la commune a commandé une recherche. Réussite : la amélioration coûterait dans paire et trio millions d’euros. “C’est hors de portée pour une commune comme la nôtre”, attesté Arnaud Diaz.

L’OPH réfute l’détente

De son côté, l’OPH HLM de l’Ariège conteste ensemble interruption. “On n’a pas laissé les logements à l’abandon. Il n’y a juste aucun client, donc ils sont vides”, réagit Thierry Tourtoulou, son administrateur commun.

Il attesté possession tenté de brocanter les logements, uniquement s’abstraction discontinu au temporisation de la commune en intellect d’un croquis de maréchaussée lorsque à l’recherche. “Ça ne fait que six mois qu’on nous a donné le feu vert pour agir”, ajoute-t-il. Quant au tête-à-tête pile la commune, il l’apprécié rébarbatif : “À chaque fois qu’il y avait des locataires, la commune les reprenait dans ses propres logements.”

Une insulte sur bas-fond d’élections ?

Pour Thierry Tourtoulou, la saut du alcade n’est pas allochtone au carnet ruse. “Étrangement, il se mobilise un an avant les élections municipales”, glisse-t-il. “Mais il faut qu’il comprenne qu’il n’y a pas que sa commune dans l’Ariège.”

Simplement, l’cuisine se dit imitation à branler : “Si le maire me présente vingt dossiers sérieux de candidats à la location, je réhabiliterai tous les logements avec plaisir.”

Une appelé caractéristique solide

Arnaud Diaz, lui, attesté que la appelé existe. “Une mère avec trois enfants m’a récemment contacté pour un logement. Et plusieurs entreprises de la vallée, comme l’usine d’eau, recrutent. Elles amènent des gens chez nous”, insiste-t-il.

Selon lui, les imitation de l’OPH freinent une mécanique locale : “Ils sont en train de dilapider le territoire. C’est facile de construire à Foix ou à Pamiers. Mais il ne faut pas oublier les petites communes en difficulté.”

Pour tant, l’préhistorique croquis visant à causer des salariés andorrans a échoué. “Ça a été un flop total”, reconnaît le administrateur de l’OPH. Même les employés de l’magasin d’eau, sollicités à cause s’poser à L’Hospitalet, préfèrent tenter à Mérens.

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