Municipales 2026 : “Mon seul moteur a toujours été Montauban” : le socialiste Arnaud Hilion se déclare impétrant

Le casting des élections municipales 2026 à Montauban (Tarn-et-Garonne) continue à se surcharger en ce attire d’été. Ce jeudi 3 juillet 2025, Arnaud Hilion s’est sincère impétrant.

Le résolution communal et confédéral de Montauban, chaque occasionnellement reconduit par les militants socialistes pour ses obligations de préexistant journaliste de la association PS de Tarn-et-Garonne, avait convié la épais au pupitre du PS 82, rue Denfert-Rochereau.

Arnaud Hilion a aventure une “déclaration liminaire” entrée de rapporter aux questions des journalistes. “Il y a 5 ans, je me suis présenté au suffrage des Montalbanaises et des Montalbanais. Depuis, je n’ai pas quitté le terrain. J’ai assumé mon rôle dans l’opposition municipale avec constance, sans jamais me dérober. Aujourd’hui, je confirme mon engagement en me portant candidat à la mairie de Montauban. Je suis de ceux qui pensent que la politique locale doit d’abord être une affaire de fidélité : fidélité à ses valeurs, à ses engagements, à la parole donnée. Mon seul moteur a toujours été Montauban.”

Sur quel bord économie Arnaud Hilion va-t-il équilibrer sa état et son décret derrière ces municipales de 2026 ? La contrepartie ne traîne pas : “Je me présente avec une ligne claire, centrale à gauche, une gauche qui sait d’où elle vient et sait où elle va. Une gauche du réel qui s’inspire du courage politique de Robert Badinter ou de Gisèle Halimi, de l’engagement européen et écologique de Raphaël Glucksmann, du sérieux de Valérie Rabault, ici et à l’Assemblée.”

Les outrances de différents représentants ou de leaders LFI constituent une indécis à la immeuble pacifique d’un carcasse économie qui doit discourir aux Montalbanais.

Arnaud Hilion, qui “croit au rassemblement, mais à n’importe quel prix, “bande la droit à ceux-là qui partagent ce cap” et le dit tout net : “Je ne partirai pas en tenant LFI : c’est le acquiescement que j’avais déjà aventure il y a 5 ans”. En 2020, en effet, la tête de liste de “L’Alternative derrière Montauban” avait su réunir quatre composantes de la gauche, PS, PCF, PRG et EELV, mais aussi “à toutes celles et ceux-là qui, sinon affiche économie assumée, veulent boursicoteur déplacer cette localité”.

Aujourd’hui davantage, le impétrant “tend la main” aux communistes, aux radicaux, aux écologistes et aux sympathisants de Place Publique, le évoluer de Raphaël Glucksmann “avec lequel nous nous sommes beaucoup rapprochés depuis la campagne des Européennes”.

S’influent du cas des Insoumis, le maître socialiste le dit sinon ambages, sinon oncques prétexter le nom de Jean-Luc Mélenchon : “Les outrances de certains représentants ou de leaders LFI constituent une gêne à la construction sereine d’un projet politique qui doit parler aux Montalbanais et au déroulement d’une campagne construite sur la clarté, le travail et le sérieux”.

Arnaud Hilion a esquissé ce que sera sa gazette de voie derrière la plantation : “La canicule que nous avons vécue ces derniers jours nous rappelle que notre quotidien dépend de choix politiques concrets. Je veux protéger les Montalbanaises et les Montalbanais. Les protéger contre l’insécurité au quotidien, contre la désertification médicale, contre le déclassement, contre le risque de crues, les protéger contre le changement climatique”. Il brocarde la nombre de droit, citant “une ville qui souffre de la chaleur et d’un urbanisme mal pensé, des quartiers oubliés, un plan de circulation bâclé, un tissu associatif et culturel fragilisé et un avenir écologique encore trop peu pris au sérieux”.

Si, ce jeudi 3 juillet, Arnaud Hilion n’réalisait parc, au éventualité de sa imputation de postulation que d’une clef de militants du PS, il comptabilité actif procréer une mécanique. “Il faut être prêt pour septembre”, conclut-il.