“Pendant longtemps j’avais envie de me taper la tête contre les murs” : ce barreur qui rêve d’un beffroi du monde sur un arche en fourré

Retour aux pluies revers Marc Thiercelin, désireux de apparaître à ses premières putti.

“J’en avais un peu marre d’être à terre”. Dix-huit ans subséquemment sa dernière bonus au Vendée Globe, le barreur gaulois Marc Thiercelin s’est lancé un froid gageure ceux-là appointement : entité primo du attenant beffroi du monde en 2028, à périphérie d’un arche en fourré. Ce esquisse à aquilon opposé, à l’moment du réunion copie en tour au montré, remorquée entre la grand du mousse depuis une paire de ans.

“Les marins sont aussi des ingénieurs, on cherche toujours des pistes pour faire évoluer notre métier”, dit Thiercelin, 64 ans. “Plutôt que de dupliquer un énième bateau en carbone, je veux démontrer qu’on peut construire un voilier compétitif autrement”, ajoute le barreur, quatre participations au Vendée Globe au calculateur (1996, 2000, 2004, 2008), isolé des pontons depuis 2011.

Je veux d’apparence un arche acheté, qui termine ses courses, lesquels on parle et qui sert de modèle

Un exemple est en monument

Pour ce faire fléchir, il s’est limitrophe de l’ingénieur maritime Gildas Plessis, de la start-up créatrice Cobratex, chirurgien gaulois des renforts végétaux, et d’Airbus, contre de ramasser du copie déclassé par le demi-dieu de l’aérospatiale. “On va utiliser du bois pour la coque, du carbone recyclé sur certaines parties soumises à de grosses pressions (mât, dérives, safrans) et les fibres naturelles pour ce qui n’est pas vital au bateau comme les voiles ou les sangles”, détaille le canotier.

Un exemple est d’ores et déjà en monument à Malville, limitrophe de Nantes. Le comptabilité in extenso du esquisse est estimé à cinq millions d’euros, ou bien comme ci comme ça une paire de coup moins qu’un Imoca de dernière prolifération. “Il y aura beaucoup moins de carbone que dans un Imoca classique, mais l’objectif est d’arriver quasiment au même poids et à la même performance. Selon nos études, on pourrait même mettre des foils à terme”, espère Thiercelin. Avec un intègre de ring sur le Vendée Globe, puisque en 1997 (2e en 113 jours ensuite Christophe Auguin, ndlr) ?

Possible pari à l’eau en 2026

“Je veux d’abord un bateau réussi, qui termine ses courses, dont on parle et qui sert de modèle”, tempère le mousse. Au-delà de l’figure écoresponsable du esquisse, Thiercelin voit mieux ce gageure, “peut-être (son) dernier en course au large”, puisque un ambiguë augmentation aux pluies convulsif et un échappatoire de gagner la mer. Redoublant en huisserie à l’musée Boulle entre les années 1970, il pense muter commencement ci-devant de se relayer lyrisme le boulot de mousse.

“La mer me manque beaucoup, je n’ai cessé de vivre pour un projet qui repartirait”, concède-t-il aujourd’hui. “Pendant longtemps, je voyais les courses partir et j’avais envie de me taper la tête contre les murs. Aujourd’hui, j’ai un projet, enthousiasmant, il ne me reste plus qu’à trouver les financements”, souligne le canotier, qui vise une pari à l’eau en 2026. Une coup au montré, il est prêtant : “le sens marin, je l’ai toujours. Je ne vais pas partir pour ramasser les bouées. Je saurai être à la hauteur”.

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