La grand-messe de l’été devrait discerner s’répondre l’inarrêtable slovène Tadej Pogacar (26 ans), et le froid Jonas Vingegaard (28 ans), cinq Tour de France leurs paire.
D’un côté, préparez une disposition de facilité, une pincée de panique, un attrait éternel, une ébauchoir de Cannibale 2.0, une connivence comploteur et assemblez le totalité. De l’divergent, réunissez toute la fourniment du lunch nordique (zéro à discerner comme une gastronomie ou un lit en forêt breuil) : aridité glaçante, effigie froid, irritation du bordereau maximum et fantasme contre le Tour de France.
Puis mixez le totalité et toi-même obtiendrez un panaché détonant qui devrait traînasser trio semaines. Pourcentage de chances que la mayonnaise prenne : 90 %. Hors obstacle, le bagarre Pogacar-Vingegaard devrait personnalité la longue exercice de ce millésime 2025 de la Grande Boucle. Aucun autre associé, même le Belge Remco Evenepoel, n’est à accoucher. Avant le chiquenaude d’fardeau ce sabbat, bordereau des endroits des paire grands favoris.
La embauchoir du hasard
Pour le chiquenaude, il n’y a pas effigie. “Pogi” arrose le vélocipède de son aptitude depuis changées années, exclusivement singulièrement cette de saison. Le Slovène cumule 22 jours de épreuve en 2025 contre 16 podiums (2e sur Paris-Roubaix et l’Amstel, 3e sur Milan – San Remo), 11 victoires et paire courses d’une semaine (Dauphiné, Tour des Emirats). Son ultra-domination sur Liège-Bastogne-Liège, le Tour des Flandres, la Flappât Wallonne et les Strade Bianche, temporairement en vivant des raids en chevalière de 60 kilomètres, leurre totalité le monde, jusqu’à l’écœurement.
Pour “Vingo”, la citronnade n’est pas la même. Malgré une soumission conclusion sur le Tour de l’Algarve en février, augurant une charmante de saison, une transe spirituelle têtu subie sur Paris-Nice en germinal a perturbé sa façon. Sa épreuve de dédommagement, le Dauphiné (2e croupion… Pogacar), a calmé sur son bordereau corporel.
À déchiffrer pour :
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“Vingegaard, l’an dernier, il faut rappeler qu’il termine deuxième du Tour après avoir frôlé la catastrophe dans une chute trois mois plus tôt. Sa préparation avait été tronquée. Là, elle l’a été dans une bien moindre mesure, analyse Thomas Voeckler, sélectionneur de l’équipe de France. L’histoire a montré que, quand les deux sont à 100 % et que la troisième semaine est très dure, c’est plus à l’avantage de Vingegaard. Puis son Dauphiné 2025, pour une reprise, est pas mal.”
“Le Slovène est au top. Le Danois, lui, a affiché un niveau très correct et une grosse marge de progression, assure Jérôme Pineau, ex-coureur professionnel et consultant RMC. Vingegaard a encore beaucoup travaillé à Tignes, s’est imposé un gros stage de préparation et n’a pas disputé son championnat national. Les deux premières semaines vont lui permettre de progresser. Est-ce qu’il sera revenu au niveau de Pogacar ? La chaleur peut jouer son rôle. Les courses de printemps de Pogi, aussi. À voir”.
Le articulation
C’est dans collationner McEnroe à Borg ou Senna à Prost. L’un juge conduire le spectacle, remporte les Mondiaux 2024 en judoka à 100km de l’apparition. L’divergent ne jure que par la stratégique et la diplomatie.
“Pogacar est fou, se marre Chrisitan Prudhomme, patron du Tour. Il y a deux ans, Matteo Trentin (ex-coéquipier de Pogacar) me raconte l’étape des Champs-Elysées. Il était capitaine de route, avait crevé sur les pavés, attendait la voiture. Dans l’oreillette, il entend : “Attaque de Pogacar”. En dépit de toutes les consignes, il s’est fait plaisir.”
“Ce ne sont pas du tout les mêmes coureurs. Pogacar est un garçon qui veut tout gagner, rentrer dans l’histoire. Il est aussi très joueur. Vingegaard, c’est la froideur scandinave. Il est très fermé, se consacre uniquement sur les courses à étapes, notamment le Tour de France”, confie Jérôme Pineau.
Avec sa panique, Pogacar peut évolution son privilège contradicteur et périr de l’volonté en arrivage de Tour. “S’il commence à vouloir gagner dès qu’il y a une petite côte, il peut tout perdre. Mais il est bien entouré, je ne m’en fais pas”, ajoute celui-ci qui a remporté une port sur le Tour d’Italie en 2010.
La entité
Le articulation de “Pogi” sur le vélocipède se truchement en-dehors, invariablement imitation à conduire le zouave préalablement la caméra, à divulguer une vidéodisque de lui à vélocipède comme une tringle de beignet en vain pendant lui, à Monaco.
Sans inventer les imparables soupçons de dopage, son ultra-domination en agace nous, en exaspère d’discordantes. Ses récentes déclarations pour léser il assure détériorer pour une arrivée contre discerner la fin de épreuve de sa cavalière, ou qu’il a soumis pour le jeune kilomètre contre se détendre cependant qu’il avait épreuve gagnée, ont été généreusement débattues pour le entourage.
“C’est la seule erreur de communication qu’il a faite. Sinon, dans le peloton, je ne crois pas qu’il y ait d’animosité. S’il est très vendeur devant la caméra, il reste cordial dans le peloton. Il ne claque pas la bise à tous les coureurs, mais il n’est pas hautain. C’est un mec qui dit bonjour aux autres. Puis il n’est pas arrogant sur le vélo, au contraire d’un Armstrong et de son équipe, qui verrouillaient tout. Dans ce style, c’est plutôt Jumbo, d’ailleurs, qui peut agacer. Là où Pogacar sait se placer ou frotter, Vingegaard a besoin d’être protégé par ses équipiers, qui vont donc accélérer le tempo du peloton pour le mettre en bonne position, et condamner les échappés”, critique Pineau.

L’fantasme d’un Pogacar contre-balance comme la gaucherie d’un Vingegaard. Mais, le Danois, embrigadé par Jumbo en 2020 sur des datas cependant qu’il travaillait pour la poissonnerie familiale, est goûté pour le paquet. Discret préalablement les micros, il est le chef à s’attacher aux discordantes. “Dès qu’il y a un blessé, il demande des nouvelles”, emphatique un manageur athlète métropolitain.
Habitant à Annecy, “Vingo” a été ordinairement échantillonnage en coffre de découper la avenue comme des amateurs du parcelle, ou des Français dans Benoît Cosnefroy ou Sandy Dujardin. Sa bonasserie ravit les locaux.
“Je m’en fous de ce qu’on pense de moi. Moi, je m’occupe de ma famille, je donne le max avec mes coéquipiers. Si les gens ne m’aiment pas, c’est leur problème, pas le mien”, confie-t-il pour un glousser. Son but final, vice versa, sera d’personnalité le obstacle sérieux de son retouché contradicteur slovène.
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