Dans sa collecte pérenne d’propriétaire de Bernard Hinault, la France a probablement trouvé en Paul Seixas (18 ans) son bizuth star. Mais il faudra endurer ci-devant de le distinguer sur le Tour.
Difficile de imaginer un sprinter, sur les isolation dernières années, qui a pareillement cristallisé les attentes. Paul Seixas n’a que 18 ans purement il est la ballonnée d’oxygène du cyclisme tricolore pendant son innombrable fonction “héritage de Bernard Hinault”.
Le sprinter de la Decathlon-AG2R suscite un lyrisme sauvé moyenne. Tout son bruit, même le panorama médiatique, post-scriptum modéré et ne veut pas griller les ailes de celui-ci qui est annoncé identique le caîd de la prochaine décennie. Mais abrupt de se barricader.
ud83dudeb4 #Dauphiné | ud83dudde3ufe0f Paul Seixas, qui termine 8e du vague à 18 ans : “Cette semaine, j’ai souffert plus que jamais dans ma vie. J’ai appris beaucoup. Je suis tellement content de finir 8e.” pic.twitter.com/nO0repvyv4
— francetvsport (@francetvsport) June 15, 2025
Sa 8e terrain sur le Dauphiné et sa victoire lettre sur les Championnats de France ont marqué les lares en ce mensualité de juin. Le cadet a montré ses qualités de pédaleur, de boxeur et de varappeur. Et davantage, bref, l’Hexagone a un sprinter qui excelle en contre-la-montre (il est leader du monde juvénile de l’emploi en 2024).
“Depuis qu’on peut mesurer les données physiologiques, on n’a jamais eu ce potentiel-là”, assure Thomas Voeckler, trieur de l’consortium de France. “Il a 18 ans et il est déjà leader. Je pense qu’il est capable d’assumer son statut. C’est un phénomène qu’on n’a pas eu en France depuis un moment”. De là à le distinguer adoucir le Tour ? “Croyons-y, oui. Il n’y a pas de mal à ça”, ajoute Voeckler.
“Il faut qu’il commence par une Vuelta”
Mais le star ne sera pas primo de Lille, sabbat 5 juillet.
“On ne veut pas le brûler. On a une approche lucide. On veut en prendre soin. Mais on ne garde pas notre approche stratégique de gagner un grand Tour à partir de 2028”, soufflait en arrivée époque Dominique Serieys, directeur de Decathlon-AG2R. Sous-entendu, il noté sur lui à court-moyen issue.
À ronger autant :
Dominique Serieys, directeur de Decathlon-AG2R : qui est cet Héraultais à la effigie du carcasse XXL dominé par l’consortium française ?
“L’année dernière, en catégorie juniors, il courait sur 100, 120 kilomètres, raconte Jean-Baptiste Quiclet à L’Équipe, directeur de la performance chez Decathlon-AG2R La Mondiale. Il y a forcément une antériorité à valider avant d’aller sur un Grand Tour en termes de charge de travail, d’intensité. Le Tour est la course la plus intense, la plus dure de l’année et, s’il y participait, il aurait peut-être + 15 ou + 20 % de charge de travail sur un mois. C’est là où, physiologiquement, il peut y avoir un stop. Comme il est talentueux, il pourrait passer sans encombre, mais tu peux aussi t’installer dans un mécanisme de surmenage, de surcharge mentale ou de surentraînement, avec une difficulté à digérer, et cela pourrait peut-être rompre sa courbe de progression.”
“Pour moi, il faut qu’il commence par une Vuelta l’année prochaine ou dans deux ans, qu’il essaie d’accrocher un top 5 si les trois animaux ne sont pas là (Pogacar, Vingegaard, Evenepoel). Et s’il y arrive, il peut être aligné sur le Tour”, certains confie un proviseur joueur tricolore.
La régularité de Seixas sur le Tour n’est pas prévue ci-devant 2026, même 2027 ou 2028. Patience, solidité…
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