“Un exercice de populisme rare” : les sermon d’Emmanuel Macron sur le visage à Roquefort font litige

L’acoquinement France Nature Environnement accuse le responsable de la Ville de “populisme”. Emmanuel Macron a estimé qu’il fallait “adapter les pratiques, quitte à abattre plus de loups”.

“Oui pour réintroduire le loup, mais là où il n’y a pas de pastoralisme et pas d’éleveur” : la mince énoncé d’Emmanuel Macron, façade un auditeur obtenu, jeudi 3 juillet, à Roquefort, n’est pas décédée inaperçue, dans lequel le actuel émerveillé d’un immigration régi tout autour des 100 ans de l’AOP Roquefort.

“Du loup, il y en a trop. Il faut adapter les pratiques quitte à en abattre davantage”, a bosselé le responsable de la Ville.
Depuis, la litige enfle.

“Dans les paroles c’est très clair, dans les actes, on verra”, a réagi vendredi Julien Perez, responsable du fédération des éleveurs ovins des Landes sur ici.

Du côté de France Nature Environnement, mutuellement, c’est la ouragan : Emmanuel Macron “fait un exercice de populisme d’un niveau rare en affirmant des choses totalement mensongères”, a réagi vendredi 4 juillet sur franceinfo Jean-David Abel, barreuse du entrecroisement biodiversité dans France Nature Environnement.

“Du pastoralisme depuis 25 siècles” 

“C’est une sortie de route complète”, accuse le prosélyte, qui rappelle que “le dossier n’est pas simple” et “n’appelle aucune solution simpliste”.

Toujours escortant FNE, Emmanuel Macron “fait fi du fait que le loup est déjà installé depuis 25 à 30 ans dans des territoires où il y a du pastoralisme depuis des siècles”.

En décembre 2024, le visage est déjà passé d’“espèce strictement protégée” à “espèce protégée” pouvant nature abattue comme généralement, au étendu dam des associations environnementales. Mais Jean-David Abel rappelle que “le déclassement du loup s’accompagne de l’exigence de la garantie du maintien de l’espèce en bon état de conservation”.

En 2024, la département d’Auvergne-Rhône-Alpes, rassasiée du inventaire de l’genre, cataclysme note de 1013 loups présents sur le région territorial.

“Pas d’augmentation des attaques”

“C’est navrant”, confie-t-il à franceinfo, dans lequel un complication où les déclarations du responsable de la Ville n’aident “ni les éleveurs, ni les services de l’État qui gèrent le dossier au quotidien”.

Il a le attachement d’garder assisté, jeudi, à “un numéro de communication qui était vraiment perché très loin au-dessus du réel”.

Il rappelle qu’il “n’y a absolument pas eu, ces dernières années, une augmentation des attaques”. Au concurrent, “elles baissent depuis plusieurs années au niveau national”.

Comments are closed.