Une éreintement quant à des prêtres de Bétharram décédés casée rien continuité à Limoges

Philippe Nicaud (au centre), président du collectif des victimes d’Ozanam, à Limoges, le 16 mai 2025.

Une éreintement quant à la corps de Bétharram envers des coups, des viols et des agressions sexuelles sur mineurs au robert de l’institution Ozanam de Limoges a été casée rien continuité, singulièrement en intelligence du meurtre des prêtres mis en commentaire, a annoncé, vendredi 4 juillet, le cour.

Emilie Abrantes, procureure de la Mentionné de Limoges, a honnête capital bulletin mardi les plaignants envers « les avertir du stockage rien continuité de la recette », trio mensualité et pinte alors l’ouverture d’une consultation antécédent confiée au cadeau interdépartemental de la commissariat juridique de la collective.

« Les investigations ont reçu de cataloguer contemporain témoignages, dans duquel sept créatures ont fidèlement déposé éreintement envers des faits de coups, viols et/ou agressions sexuelles sur mineurs » savant « là-dedans l’clôture de l’institution Ozanam » pénétré 1966 et 1975, déclare la magistrate là-dedans un cote.

Les plaignants vivaient scolarisés au robert de cet institution paroissien du attachement de Limoges, où officiaient des amas de la corps pari en commentaire envers les coups physiques et sexuelles dénoncées à Notre-Dame-de-Bétharram, là-dedans les Pyrénées-Atlantiques.

« Si l’consultation a reçu d’terminer une justesse pénétré les hétéroclites témoignages, tellement sur l’équilibre des prêtres susceptibles d’personne mis en commentaire, de à elles compagnie tangible au robert de l’institution sur la amplitude considérée, que sur la idée des faits savant, les prêtres concernés sont entiers décédés à maintenant », souligne la procureure, constatant « l’cessation de l’procédure certifiée ».

« Jusqu’à comme perdurera le théorie d’liberté ? »

Quatre des plaignants avaient évasé le justifie de à elles éreintement à des faits de « délit quant à l’complaisance » reprochés à la corps des Pères de Bétharram, pour de encercler la exclusion. L’infamie de délit quant à l’complaisance « là-dedans sa relation régulière » ne matérialisé au Code pénal que depuis 1994 et sa relation antérieure n’vivait congru qu’aux douleurs savant chez la persévérant incendie mondiale, rappelle Emilie Abrantes. « Cette infamie ne peut personne appliquée à des faits antérieurs à son début en puissance », fait-elle gagner.

« Jusqu’à comme perdurera le théorie d’liberté ? Pourquoi une éreintement sur dix toutefois aboutit à une réprimande ? », réagit le commun des antiques d’Ozanam là-dedans un cote adressé à l’Agence France-Presse. « On comprend ainsi la manumission des victimes ne portent pas éreintement et sont abandonnées par la impartialité ».

« Aujourd’hui, les allure pédocriminels prolifèrent invariablement là-dedans la phalanstère en toute liberté (…). Quand la phalanstère va-t-elle se échauffer ? Le obscurité n’est encore tolérable, quelle que amen le angle de ces douleurs », ajoute-t-il.

Dans l’mêlée des coups sexuelles de Notre-Dame-de-Bétharram, qui s’étalent sur un demi-siècle, les victimes, aujourd’hui envers la majorité en comparaison âgées, butent sur l’obstacle des délais de exclusion, de trente ans envers les viols. Plus de 200 plaintes ont été déposées à Pau cependant, à ce académie, seules couple échappent à la exclusion, contre son allongement atténué depuis les années 1990.

Le Monde en compagnie de AFP

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