
Une traits de assortiment s’est spontanée au prix de les arbitres tandis d’un conflit au estimable challenge de tennis de Wimbledon où les menstrues, spécialement vestimentaires, sont follement strictes.
Illustre même l’un des tournois les davantage estimable au monde, Wimbledon doit une alinéa de sa honneur à ses menstrues vestimentaires follement strictes. Tout de espacement vêtus, joueuses et joueurs ne sont pas autorisés à bouleverser de élégance tandis des conversation. Une révocation qui a notamment fâché Tomas Machac, traits de assortiment immatriculation 21 du challenge londonien, et qui a lentement ferraillé sur le bref jeudi 3 juillet avers à son challenger au suivant flux, le Danois August Holmgrem.
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Dans un conflit follement disputé, le Tchèque, 23e turfiste astral, a dû bagarrer envers les juges à l’résultat du quatrième set. La décharge ? Le médaillé d’or en équivoque mélangé aux JO de Paris souhaitait se bouleverser, trempé de mouillure ensuite des heures d’échanges. La colloque envers les arbitres a duré de longues minutes, ceux-là retardant pour un leader heure que Machac se réformé. Celui-ci a somme toute eu acheté de policier, employant un échappatoire qui a croyant ses interlocuteurs : “Et si je me chiais dessus ? !” à eux a-t-il lancé. Suffisant dans concerner répandu à enfiler des habits secs et immaculés.
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Pas fini vice versa dans se dériver du malice inquiet par son challenger officiel, qui l’a exclu au part du cinquième set 7-6 (5), 6-7 (8), 6-7 (5), 7-5, 7-6 (5) d’un conflit exceptionnellement serré tandis de laquelle quatre sets se sont terminés au jeu décisif.
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