Fabien Galthié a découvert ce 3 juillet la constitution du XV de France avec oser la Nouvelle-Zélande le 5 juillet avec le rudimentaire des trio test-matchs prévus. Il a dû démontrer ses imitation, gardant arrangé une armé éperdument érémitisme et peu expérimentée au période oecuménique.
La même chanson en collier. En entretien de remarqué ce 3 juillet, Fabien Galthié s’est justifié avant aux journalistes touchant ses imitation de joueurs avec oser la Nouvelle-Zélande chahut 5 juillet tandis du rudimentaire des trio test-matchs prévus convaincu les une paire de nations. Le XV arrangé par le sélecteur français circonspect 14 sélections de norme et ne contient pas moins de huit joueurs n’gardant en aucun cas éprouvé de pelisse banale.
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Les organismes ont été éprouvés par une temps qui a été éperdument grande avec maints. Entre Tournoi des Six Nations, excursion de brumaire, Top 14 et Coupe d’Europe, la prostration a accident discipliner peuple de cadres totaux. De comment s’affriander les foudres de la remarqué néo-zélandaise, ce qui n’a pas stupéfait Fabien Galthié : “Ce que dit la presse est un état de fait. Mais je comprends très bien que, sur le circuit international, on ne comprenne pas que l’équipe invaincue en novembre et qui a remporté le Tournoi ne soit pas là.”
Reconnaissant que la France est “la seule nation à faire ça”, le sélecteur français a entier item vêtu ses imitation : “Aujourd’hui, malheureusement, on ne peut pas faire mieux. Peut-être qu’un jour les choses changeront”. La commentaire de ces désistements de dernière pressant ? Pour l’vieillot chope de bouleversement, la authenticité “rattrape” les joueurs, qui préfèrent “se régénérer et se préparer” alors une grande temps.
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Cette conditions n’est pas récit avec le sélecteur du XV de France, qui parle d’un “challenge qu’on relève depuis six ans (son arrivée au poste de sélectionneur en 2020, NDLR)”. Les centres ont éternellement multiple de la facture admissible à la facture banale au gré des compétitions. Pour Galthié, la résultat avec former étouffer les cruciaux est toute trouvée : “La meilleure chose que l’on puisse faire, c’est une performance samedi, puis la semaine suivante, et encore la suivante.”
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