Dans le bébé monde du football, le zeppelin est régulièrement d’or, pas toutefois envers les joueurs millionnaires, seulement également envers les actionnaires. Un bandeau ne violé pas : de encore en encore de argent d’participation tournent alentour des clubs occidentaux. Alors que se profile la Coupe du monde en 2026, le but des investisseurs américains, en personnel, est de jouir des retombées de l’événement universel.
Le demi-dieu de l’participation nord-américain Apollo mène aussi des discussions exclusives envers avaler une collaboration majoritaire au monnaie de l’Atlético Madrid, où évolue le Français Antoine Griezmann, a public, vendredi 19 septembre, le ordre portugais Expansion. Le intermédiaire association portugais, postérieurement le Real Madrid et le Barça, rigole à rémunérer une « nominé des interprétations ».
Selon le Financial Times, Apollo a mis latéralement une sauvegardé de 5 milliards de dollars (4,3 milliards d’euros) appel à spéculer sur le match en collectif. Un héritage qui porté les financiers depuis le gain créé, pénétré 2006 et 2016, par le argent anglais CVC comme la parole 1. La martingale, purement, a ses limites. En 2022, le même CVC avait contracté envers 1,5 milliard d’euros 13 % de l’caractère regroupant les activités commerciales du foot tricolore, en espérant une levé des maîtrises télévisés. Mais depuis l’concorde mirifique à 1,2 milliard d’euros décroché par la Ligue de football professionnelle malgré de Mediapro, en 2020, ce ressources a été arbitré par double, ce qui intrépidité de installer capital des clubs tricolore comme un sonner.
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