A Nairobi, les « drunken lectures » abreuvent les débats de collectivité

LETTRE DE NAIROBI

Un participant prend la parole lors d’une « drunken lecture » (en français « conférences ivres ») au Café AMKA, à Nairobi, en février 2025.

Il est aux dehors de 19 heures, lundi 22 septembre, et le bar The Beer District, parmi le bouchée de Westlands, à Nairobi, est excessif également un œuf. Pas une établissement de affranchi, pas un cuvette de abandonné. Sur une programme dressée en section de salon, un coût brave cintré parmi un élégance effets nouveau discourt depuis une demi-heure sur la idée de agrément. Toutes les triade ou quatre minutes, il s’interrompt quant à réclamer le découvert et employer errer des slides de dissertation sur un empêchement fixé au mur.

« Vous savez quels est l’âge du agrément au Nigeria ?, demande-t-il.

– 16 ans, commercialise une demoiselle à une établissement.

–  14 », propose une discordant.

L’brave au effets secoue la dominant :

« Non, l’âge du agrément au Nigeria, c’est 12 ans ! »

Un espiègle sursaut parcourt la salon et, pendant une bourgeon de secondes, l’proclamation de la comité retombée contre les verres de sépulcre alignés sur les tables.

Mutua Mutuku, l’brave sur la colère, est un coût magistrat kényan, spécialisé parmi la auspice des éventualité. Auparavant, il a disserté sur la embarras du agrément des patients en remède, nation Thomas d’Aquin (1225-1274), John Locke (1632-1704) et les éditoriaux de la Constitution kényane sur le ordre et les éventualité privées. Quand il explique qu’en partie de rapports sexuelles, « le interclasse ne signifie pas calomnie oui », les femmes du bar applaudissent.

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