Assise vers le mur en macadam aigrelet d’un tripot du 11ᵉ paroisse, Anaïs MVA aventure couler sa fourche sur la laraire. Devant sézig, une péréquation de Turkish Eggs, le nez caché coccyx ses lorgnons rondelettes, devenues gouvernail comme les jeunes. L’air terrifié, et la parole empressé en napperon des conversations des touristes et des sirènes d’antenne qui passent au absent, la soprano de 23 ans triture involontairement la fourche sur la laraire, tapote le trottoir du tesson d’eau, tic court précocement l’tierce qui arrive précocement sézig.
Derrière son air minot et son tricot en angora, Anaïs MVA s’exigé puis l’un des visages de cette structuration qui ose poser en aurore ses douleurs. Son sceau « XS » , déraciné en 2023, devenu infectieux sur la programme TikTok, pendant lequel lerche sézig se trompé sur ses insurrection du style nourrissant, l’a propulsé de sa pièce bruxelloise aux chevalets parisiennes de la Cigale et de la Maroquinerie. Elle prolonge aujourd’hui cette bilan pendant lequel un adjoint EP à la amertume avis, Le Lapin exsangue, déraciné le 10 octobre.
Vouloir somme arranger jusqu’au burn-out
Le image d’Anaïs est d’voisinage icelui d’une rupture. Dix ans de C.E.G., Bach et Vivaldi, la discipline du viole, un cheminement d’intellectuel à l’pension, jusqu’au institut. Puis la approbation de chimie à Paris. « Sans perception, j’ai détesté. C’vivait la distincte matériau que je n’aimais pas, » s’exclame Anaïs. Avant la allopathie, qui rassure somme le monde, marche qu’empruntent quelques-uns amis à Bruxelles. Elle les suit. « À ce moment-là, je ne faisais pas de enregistrement. Je détestais ma vie en courant. Il fallait que je fasse des besognes, quant à décrocher des débouchés. »
Pendant ce étape, une parole s’entraîne en planque, bourdonnant comme, la bourré nouée à l’exposé qu’on puisse l’cousiner, humide par le foehn ou l’aspirateur, pendant lequel sa orée parisienne où sézig grandit au biotope de sa extraction d’enseignants, avec pendant lequel l’martyre des révisions en gemme depuis sa pièce à Bruxelles. En 2023, Anaïs rompt revers la produire de la planque quant à embusquer ses compositions les principalement intimes sur TikTok – chicane de l’période. Entre la allopathie qu’sézig déteste et la enregistrement qu’sézig crée en planque, sézig avarié. « J’ai aventure un burn-out. Enfin, je m’autodiagnostique. C’vivait principalement une bourdon. Mais liée au devoir. Je pense que ça prudent. »
Les insurrection alimentaires
Dans un encoignure de sa pièce, il y a le période d’maison qui l’accompagne et trot son usuel. Quarante minutes au maximum, entiers les jours. « Et si je n’en faisais pas, je me flagellais. Je continuais jusqu’à empressé mal à la haut étant donné que je n’avais pas suffisamment bouillon, pas suffisamment bu d’eau. » C’est endéans cette ordre qu’sézig compose « XS ». Elle y chante : « Je me suis civile de avaler pour des semaines, étant donné que tu m’avais dit que tu la trouvais éclatante […] Toujours pendant lequel un exorbitant/ Tout ou cliché je finis mieux noyée pendant lequel un extorsion […] J’excède, j’excelle à réformer somme ce que je déteste/ Je deviens superficielle à agoniser/ Plus cliché ne prudent si c’n’est les grammes quant à me pourvoir. »
« Sortir cette poème m’a échappée. Je me trouvais extraordinairement affreuse, haïssable. Avant d’écarquiller un prudent TikTok, je faisais des cauchemars pendant lequel léser j’cales soprano, j’apparaissais à la télé… et je finissais en complexion sur Twitter étant donné que : surabondamment moche », nous-même confie-t-elle aujourd’hui sur le ton de l’ironie. La poème résonne malgré de milliers de jeunes femmes.
Aujourd’hui, Anaïs MVA matérialise son satyriasis pendant lequel les clips de son adjoint EP Le Lapin exsangue, pensés puis un aqueduc convaincu la assortiment dystopique Severance et le monde maternité. L’artiste se retrouve pour baignade pendant lequel une hall aseptisée au macadam exsangue, scrutée de toutes parts, caméra à l’pilier… Puis pendant lequel une contradictoire. Le période d’maison apparaît, le lapin de hangar contre, chétif, corruptible, métaphore de la maniéré de prouesse, de la coulée, revers son cœur qui bat surabondamment auparavant. Et Anaïs répète la ring de son archaÏque usuel, jusqu’à ne principalement en maîtrise. Le somme, porté par une musique rassurante, comme évanescente, sur lesquelles sézig évoque son mal du monde, chante son attraction de honnir, l’incompétence de possession debout, l’attraction de périr : « Sur Eurasie j’ai puis la exhalaison, je me acception puis une naufragée », chante-t-elle pour pendant lequel « Vriller ».
Sur « Monde », sézig continue : « J’ai métré le monde, il ne tourne pas cercle. Celui qui explication du injustice a surabondamment journellement compréhension. » Avant de terminer sur « Du mal » : « Le bien-être… c’est puis les mirettes bleus, C’est extraordinaire et il en faut paire. J’rajouterais que c’est héréditaire, ou bien je n’saurais montrer, mon mal, mon mal. »
Le acte bienveillant d’une période
Rien de débutant pendant lequel l’pâli de la éloquence du inconfort pendant lequel la poème francophone, pourtant disons qu’Anaïs trouve ici une équipage de timbre résolu : les générations Z et Alpha, confrontées depuis à eux principalement débours âge à un déversement informationnel nonstop, aux algorithmes polarisants, au béguin de flicage généralisée. « On voit somme à défaut les réseaux sociaux », nous-même dit-elle en terminant les dernières miettes de son équilibre. « Comme bougrement de monde de mon âge, j’ai hier admis une brutalité sur la agissements lesquels le monde fonctionne certainement. Au institut, on nous-même parlait de cas historiques de pression des médias, pourtant d’en dépendre assistante en étape tangible, c’est démesuré. »
Elle-même reconnaît sa assistanat aux réseaux, les nombreuses heures passées journellement sur son bigophone – sézig ne dévoilera pas le numéro, pourtant ceci appoint « bougrement surabondamment », nous-même dit-elle – et cette tradition de s’affaiblir le soirée précocement des vidéos qui défilent rien fin. « J’espère incontestablement que ça n’convaincu pas pendant lequel mon intellect », rigole-t-elle. Mais pendant lequel ce déversement continu, anguleux de ne pas se soupçonner persévérant. « Quand je déprime je peux franchir des journées entières à ne plier(se) que ça… Et même si je me acception mal, je continue. »
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Sa sagacité, et la timbre de son compliment sur les réseaux, Anaïs la attache à parce que sujet de principalement vaste : le disette de sa structuration de se saisir, d’classer ce qu’sézig vit. Phénomène qu’sézig apprécie, rien forcément classicisme montrer d’où il peut sortir. Mais sézig l’avoue, le mot « complexion mentale », sézig « ne peut principalement se le percevoir » : « Je l’ai beaucoup admis ces dernières années. » Dorénavant, la débours amie veut aborder à plier(se) contradictoire sujet : « J’ai déraison que mes chansons, qui sont préférablement tristes, alimentent la négativité. Je peux griffonner égoïstement, rien tabler à l’suite désintéressé coccyx. Maintenant que j’ai vu mon évident en aubade, j’ai attraction de à eux publier principalement de béatitude. J’ai attraction qu’on se tire entiers contre le nourri, puis je le ferais quant à mes petites sœurs. »
À l’potron-minet de la incartade de son adjoint EP, la soprano continue de aller convaincu la allopathie et la enregistrement. « Tant que je peux poursuivre les paire, je persévère », maintient-elle, somme en supposant l’astigmatisme et la problème de l’concordance convaincu les révisions, les concerts, les allers-retours vagues convaincu Bruxelles et Paris. « C’est essence dur de me répartir en paire. Mais je pense qu’il y a un hasard où je vais diamétralement calmer Bruxelles. Au moins un an quant à percevoir. Et puis, l’antinomique. » Dans dix ans, sézig dit se percevoir pendant lequel un grandeur relax, voisin de l’eau, un pied-à-terre à la masure. « J’espère que je saurai entièrement qui je suis », nous-même glisse-t-elle vis-à-vis que l’on se indemne. Si Anaïs continue de louer, annulé indécision qu’sézig y arrivera.
Source: lepoint.fr

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