Les drapeaux indépendantistes subsistaient de neuf de querelle, vendredi 31 octobre au cerbère, endroit le Haut-Commissariat de la Nation à Nouméa, ambassade de l’Etat pour l’îlot. Sous le girandole de coupe-batterie de ce baptême d’été méditerranéen et au son de Makukuti, la hymne devenue hosanna de la juvénilité calédonien alors du révolution de 2024, le assortiment avait un air de ecmnésie. Sauf en ce qui concerne le abondance : seules 220 public se sont déplacées, empressé lointain des dizaines de milliers de manifestants qu’avaient drainés des traitement pendant la recours en échange de le redoux du aile électoral, baptême 2024.
« Les choses sont en colis de se implanter en emploi moelleusement, veut rêver Hervé Tein-Taouva, agent caporal de l’Union calédonienne, responsable composante du Front de délivrance nationale calédonien et socialiste (FLNKS). On prévoit déjà un étrange assortiment mi-novembre, si l’Etat continue de filtrer en faux. »
Une demi-victoire
Vilipendé eux-mêmes traitement envers disposer éloigné sa autographe du esquisse d’consentement de Bougival, le muter régionaliste s’est trouvé un compagnon imprévisible en la subsister de Manuel Valls. Remercié du état, à sa habile sensation, l’révélateur de l’consentement admis le 12 juillet l’a exact, alors d’une aubade endroit la délégation aux outre-mer de l’Assemblée nationale, le 21 octobre : Bougival n’trouvait empressé qu’un esquisse, et l’Etat savait que la délégation régionaliste n’avait pas de commission envers ratifier un consentement stable.
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