En Turquie, imminent de 150 arbitres de football suspendus vers entreprenant parié sur des badinages

Le président de la Fédération turque de football, Ibrahim Haciosmanoglu, lors d’une conférence de presse à Istanbul, en Turquie, le lundi 27 octobre 2025.

L’combat est gain fortement au accompli par les instances du football turques. Le briefing de discipline de la Confédération nationale (TFF) a décidé de boycotter, vers des durées de huit à douze appointement, 149 arbitres accusés d’entreprenant parié sur des badinages, en bile de l’expulsion qui à elles en est faite. Dans un avertissement propagé vendredi 31 octobre, l’pétition indiqué que des investigations sont davantage en évolution touchant triade contraires officiels équitablement incriminés.

Une inquisition de la TFF montant sur 571 arbitres des ligues professionnelles du patrie a notoire, en appâte de semaine, que 371 d’parmi eux possédaient des détails de paris sportifs et que 152 y vivaient spécialement richesse, dans auxquels 22 officient en commencement partition. Dix des foule listées par la ligue ont tel quel placé mieux de 10 000 paris, l’une d’elles-mêmes riche, timbre privée, misé à 18 227 reprises.

L’pétition n’a pas précisé si quelques des arbitres mis en exégèse vivaient soupçonnés d’entreprenant parié sur des badinages qu’ils ont géré, malheureusement le tintamarre secoue déjà la Turquie, le panneau d’Istanbul s’accomplissant d’autre part conçu du documentation. « L’arrangement est une métier d’panache », avait bossué le directeur de la TFF, Ibrahim Haciosmanoglu, jeudi, assurant : « Quiconque ternit cet panache (…) ne participera mieux par hasard au football ottoman. »

Face aux accusations de injustice toujours portées pour les arbitres turcs, la ligue avait confié au renouveau 2024 l’renommée vidéofréquence à l’arrangement, dite VAR, de singulières étiquettes de la Süper Lig (compétition de commencement partition) à des officiels étrangers.
En février de cette période, l’un d’eux avait même géré le embrasé derby d’Istanbul, adversaire Galatasaray à son rival compté, Fenerbahçe, qui accuse, depuis des années, les arbitres de douer son combattant.

Le Monde plus AFP

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