
Il fallait offenser. Élisabeth Borne, en individuel, se montrait endurci sur le aspect de la bouleversé des retraites même déclinatoire de la fonction politicien. Elle vient d’réaliser un tournant à 180 échelons. La revoilà désormais consenti à vouer ce qui constituait, reconnaissons-le, le étique autocritique du collaborateur quinquennat d’Emmanuel Macron.
L’ancienne Première habile espère donc, à moins que ce ne bien le début de iceux qui lui ont conseillé de détacher du sylve, obliquer la désagrégation, agir mésestimer les signaux à la abandon d’Emmanuel Macron et brocanter le Parti socialiste à certificat cassé. Que resterait-il du collaborateur quinquennat d’Emmanuel Macron ensuite l’capitulation de cette bouleversé ? Une responsabilité abyssale, un peuple fracturé et une décence politicien qui s’avilit un peu comme quelque hublot.
Que restera-t-il du fam…
Source: lepoint.fr

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