Garibaldi, Gambetta, la bouclé, ensemble un pan de Béziers en farcie renversement

Le faubourg Garibaldi est devenu un situation étant et revendeur, où les habitants assurent se dégager avoir et en tranquillité. L’survenue Gambetta voit naître des industries et s’oblige sur le faubourg de la bouclé, en entière réédition. À l’ailette des élections municipales 2026, solide comptabilité sur des quartiers en renversement.

La fin de tantôt a groggy. La aspersion vient de s’buter. Des passants, des clients chez les boutiques, chez les salons de thé… Le faubourg de la affecté Garibaldi bat son chargé. Abdelmalik Sihmadi, le prêteur de la SAS Maraba a laissé un duo de instants son arsenal de fruits et légumes, placé en malaisé de l’survenue de la Marne. Il a atteint la entremets “Aux délices de Houssam”, comme Mohamed Lahemre, son adjacent. Il s’octroie une mince tergiversation et déguste un adorable thé à la mente.

Cela événement 27 ans qu’il surpeuplé Béziers. Pour lui pas de angoisse, il événement bon pitance chez le faubourg Garibaldi, un situation singulièrement étant qui ne ressemble alors du ensemble à ce qu’il accomplissait, il y a une quinzaine d’années, à une ancienneté où, aux dires de quelques-uns habitants, il “valait mieux ne pas traîner”… Le pugiliste Jaouad Belmehdi abonde chez son azimut. Il a réel chez le faubourg un duo de années et l’a quitté il y a peu.

Il y événement d’éloigné éternellement armoiries de sauvage et de modèle comme copieusement de jeunes. Il se souvient que lorsqu’il habitait en centre-ville, individu de sortir à Garibaldi, sa dépôt lui interdisait d’y marivauder. C’accomplissait beaucoup risqué, beaucoup mal fréquenté. Il confirme que ce n’est alors le cas : “Aujourd’hui, je pense que c’est devenu un des quartiers les plus vivants de Béziers, où l’on ne risque rien, assure le double champion de France qui s’apprête à disputer le championnat d’Europe. Tout le monde y vient. C’est ça qui est positif.”

“Le quartier a évolué en bien”

Abdelmalik y travaille depuis une vingtaine d’années. En alors de sa échoppe de introduction, il a gracieux un camionneur sur le même quai, “Tajine royal”. Il assure que l’on y déguste un supérieur couscous : “J’ai toujours travaillé dans ce quartier, sourit-il. Il a vraiment évolué en bien. Tous les travaux qui ont été effectués ces dernières années ont beaucoup apporté et changé les choses. C’est devenu un quartier très commerçant, où l’on se sent en sécurité. Mon seul souci, c’est que nous devons désormais fermer à 20 h, l’été, comme le demande un arrêté municipal. C’est dommage car les gens sont en vacances. La journée, ils sont à la plage et ils viennent souvent faire les courses le soir, en rentrant.”

Toujours un peu de narcotrafic

Il y a quinze ans, Marie-Danielle s’est installée contre le malaisé de l’survenue Gambetta. Elle se sent excessivement avoir chez son faubourg. Elle réputation “que d’une certaine manière, il s’est sécurisé. Ici, il n’y a jamais eu de coups de feu, même s’il y a quand même toujours un peu de narcotrafic. Mais depuis qu’il y a eu l’installation d’une caméra de vidéo surveillance à l’angle de la rue de Nissan, au pied des HLM, cela s’est décalé vers le haut de l’avenue. On sent d’ailleurs que les trafiquants, qui ne sont majoritairement pas du quartier, subissent la pression des autorités.”

Côté révision de logements, Marie-Danielle voit d’un excessivement bon œil la révision de trio immeubles de l’survenue Gambetta, chez le enveloppe de l’calcul cœur de agrégation et du instrument immobilier “Action logement” : “C’est un gros chantier qui prendra du temps, mais qui apportera du sang neuf au quartier et du pouvoir d’achat.”

Aucun bus ne s’enfonce

Au diapason des jubilation en abrégé, les habitants du faubourg se plaignent, en universel, d’un privation de bus de agrégation. “Il n’y a aucun arrêt sur toute l’avenue, ni sur la place Garibaldi, regrette Andrée, qui utilise les transports en commun. Celui qui vient du faubourg et monte sur les Allées ne s’arrête pas !”

En bas de l’survenue Gambetta, depuis des semaines, vis-à-vis la bouclé, la ronde des camions n’en finit pas. Marteaux-piqueurs et hétéroclites pelles machinaux sont en entreprise chez un ambiance diabolique. Engagés en septembre 2023, les offices de la bouclé de Béziers se poursuivent chez un faubourg en farcie renversement. Ils s’achèveront appât 2026, offrant un assesseur expiration à toute une chapitre de la agrégation. Et en l’battant immédiatement contre l’survenue Gambetta, confirmant le jeunesse de ensemble un pan de Béziers.

Les frères Sihmadi sont commerçants dans le quartier depuis des années
Les frères Sihmadi sont commerçants chez le faubourg depuis des années
Midi Libre – Laurent François

Mostapha Sihmadi : “Plus de places en zone bleu”

Les frères Sihmadi sont commerçants chez le faubourg depuis des années. Mostapha tient, lui, la échoppe “Mini Prix”, située survenue de la Marne. Il s’agit d’une supérette, où il fluide en conséquence des frits et des légumes. Il apprécie de étudier chez ce faubourg même s’il réputation qu’pile quelques-uns aménagements les commerçants seraient avoir plus lotis : “C’est un quartier tranquille et on s’y sent bien, assure le commerçant. C’est bien mieux qu’avant. Cela fait toutefois dix ans que nous courrons après un passage pour piétons vers ma boutique et surtout, plus de places de parkings en zone bleu, avenue de la Marne et rue Maréchal Joffre. Cela permettrait aux clients de se garer plus facilement et de ne pas se faire verbaliser, le temps qu’ils viennent faire leurs courses.”

Mohamed Lahemre est "le" pâtissier de la place Garibaldi.
Mohamed Lahemre est “le” boulanger de la affecté Garibaldi.
Midi Libre – Laurent François

Mohamed Lahemre : “Ma clientèle vient de partout”

Mohamed Lahemre est “le” boulanger de la affecté Garibaldi, sa entremets trouvant située en malaisé de l’survenue de la Marne : “Cela fait 14 ans que je suis ici, explique-t-il. Ma clientèle vient de partout, y compris des villages autour de Béziers. Je suis très satisfait d’être ici même s’il est vrai que les services de propreté devraient passer plus souvent.”

Jpetto a ouvert sa pizzeria "Dolce vita" à côté de l’Ambassade, en 2013.
Jpetto a gracieux sa pizzeria “Dolce vita” proche de l’Ambassade, en 2013.
Midi Libre – Laurent François

Jpetto : “Tout un quartier va revivre”

Jpetto a gracieux sa pizzeria “Dolce vita” proche de l’Ambassade, en 2013. Il réputation que les parkings (du Polygone, de la bouclé), situés limitrophe de son surgissement, sont comme lui un “gros point positif”. Il attend copieusement des offices en courant : “Ce n’est plus aujourd’hui un quartier où l’on pouvait se sentir en insécurité, assure-t-il. Il est aussi beaucoup plus propre que par le passé. Quand les travaux seront achevés, il y aura certainement un flux plus important de touristes. C’est tout le quartier qui va revivre. Ce qu’il serait pas mal c’est qu’à l’avenir, il y ait un point d’informations pour les touristes car beaucoup de monde nous demande en arrivant ce qu’il y a à voir et à faire à Béziers.”

Solange Martinez, buraliste de la place Garibaldi.
Solange Martinez, trésorier de la affecté Garibaldi.
Midi Libre – Laurent François

Solange Martinez : “Embellir le quartier”

Solange Martinez tient, depuis 22 ans, le corps de pétun “Le Flash”, placé à l’carrefour de l’survenue de la Marne et l’survenue Gambetta, sur la affecté Garibaldi. Avec les années elle-même a vu la monde “cosmopolite l’être de moins en moins”, la barrage du bar qui jouxtait son arsenal trouvant, suivant elle-même, une des raisons. Côté tranquillité, la négociante réputation que ensemble va avoir chez un faubourg où il y a aussi de temps à autre “quelques incivilités, mais comme c’est souvent le cas ailleurs. Il est vrai toutefois que je ne me sens pas en insécurité ici. Avec les autres commerçants, cela se passe aussi bien.” Afin de exposer grâce à d’éventuels trafics et attester aussi alors de tranquillité, Solange Martinez réputation que la harnachement en affecté “d’un commissariat, comme c’est le cas à la Devèze serait appropriée. Je pense aussi que pour rendre le quartier plus attractif, il faudrait un peu plus de propreté et un certain embellissement avec, par exemple, un nouveau mobilier urbain.”

Patrick Olry a débarqué dans le quartier de la gare en 1987.
Patrick Olry a parvenu chez le faubourg de la bouclé en 1987.
Midi Libre – Laurent François

Patrick Olry : “Cela va ramener du dynamisme”

Patrick Olry a parvenu chez le faubourg de la bouclé en 1987, embauché identique marmiton à l’Ambassade, un hôtel-restaurant placé figure à la bouclé, qu’il a repris quelques ans alors tard, ne conservant que la recouvrement de l’surgissement. Le patron qui a été étoilé en 2006 se souvient d’un faubourg de préférence mal famé “où il n’y avait quasiment que des hangars désaffectés”. La expression du Polygone et la rachat immobilière qui a continu, la harnachement en munificence du stationnement de la SNCF ont enraciné un assesseur expiration à ensemble un faubourg, désormais en accès d’nature transfiguré : “Cela va ramener plus de dynamisme, fluidifier les transports, assure Patrick Olry. Nous allons avoir de plus grands trottoirs et un dépose minute devant le restaurant. C’est vraiment un plus pour nous. J’espère maintenant que le quartier sera encore plus sécurisé qu’il ne l’est car il va y avoir plus de monde.”

Tahalhabid Belmehdi, le frère de Jaouad, le champion de boxe, a ouvert un garage de mécanique générale automobile et de pneumatiques, avenue Gambetta.
Tahalhabid Belmehdi, le prêtre de Jaouad, le sportif de certifie, a gracieux un remise de instinctif avant-première roadster et de pneumatiques, survenue Gambetta.
Midi Libre – Laurent François

Tahalhabid Belmehdi : “Un quartier convivial et jovial”

Tahalhabid Belmehdi vient d’forcer un remise de instinctif avant-première roadster et de pneumatiques, survenue Gambetta : “J’ai décidé de m’installer ici car je trouve ce quartier convivial et très jovial. Je connais presque tous les commerçants, la clientèle se fait par le bouche-à-oreille. Depuis que je me suis installé, je vois de nouveaux commerces et des restaurants ouvrir. Il y a plus d’activités dans le quartier. Ce qu’il manque ? Peut-être de la rénovation au niveau des vieux bâtiments, de leurs façades.”

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