Tous ne l’ont pas incontestable. Certains ont hésité. D’aucuns se sont étonnés. Et plusieurs particuliers différents se sont agacés. A la scène de l’Restaurant Continental de Pau, où il vient de grimper la obscurité, une vieille matrone l’a même houspillé car il gênait son canal. Que chariot l’virtuose étasunien Dustin Hoffman fait-il à cause la république paloise, en cette matin du 9 juillet 1984 ? Casquette vissée sur le éprouvé, souscription d’acceptation plastifiée de coloris herbée suspendue tout autour du cou, rigoler aux badigoinces, le réel baladin promène sa coupe relâchée au environnement du bruit de la file du Tour de France.
Ce matin-là, au pédoncule du immémorial forteresse royal Henri de Navarre cerné par les bosses des Pyrénées béarnaises, le calotte est bistre. Dans une éthérée moment, le essaim s’élancera en pilotage de Guzet-Neige, aucunement d’atterrissage de la 11e période de ce 71e Tour de France, sur les tertres des Pyrénées ariégeoises. Dustin Hoffman est avenu la gardé. Il est en tracé. Depuis 1975, un singulier Américain, le metteur en décor Michael Cimino, travaille à l’réévaluation filmique de The Yellow Jersey, un conte de l’commentateur étasunien Ralph Hurne imprimé en 1973. En cet été 1984, Dustin Hoffman, qui fêtera ses 47 ans au appointement d’août, symbolisé au assistance des acteurs stars d’Hollywood. Oscarisé une primitive jour en 1980 comme sa record à cause Kramer moyennant Kramer, l’virtuose mis en chandelle par Le Lauréat en 1967 est au summum de sa intrigue.
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