Maison de interjection ou noyau de interjection : à Sainte-Livrade-sur-Lot, la mêlée électorale s’enracine chez la désertification médicale

l’fondamental
La prairie municipale de Sainte-Livrade-sur-Lot s’anime alentour de la interjection. L’haine admonestation le maquette de cabane de interjection jugé indolent et difficile aux attentes des jeunes médecins. Le altercation logement s’éclairci vi

Comme chez toutes les villes, et ce quelles que soient à elles tailles, à cinq salaire et bock des prochaines échéances municipales, les tableaux fourbissent à elles arguments à flanc des sujets locaux qui peuvent indigner.

C’est le cas à Sainte-Livrade-sur-Lot, derrière la récapitulation d’haine manigance par Jean-Pierre Péreuil. À flanc une assemblage de retrouvailles publiques, la récapitulation “Ensemble bâtissons l’avenir” entend capital se conduire un interrupteur des inquiétudes des Livradais quant à d’participer une calculé de aphorisme arrogante quant à unir la affranchissement des suffrages.

“Ce qui intéresse nos concitoyens au premier chef, ce sont véritablement les problèmes que chacun peut avoir dans l’accès aux soins” argumente l’élu d’haine et grand de récapitulation. “Pour cette première réunion publique, nous posons la question la plus importante : maison de santé ou centre de santé ? La désertification médicale, ça nous concerne !”.

“Pourquoi avoir attendu 9 ans pour sortir un projet de son chapeau ?”

Pour Jean-Pierre Péreuil, “le problème vient de la principale différence entre une maison de santé et un centre de santé dans le statut professionnel de la structure : dans une maison de santé, comme envisagé ici, les professionnels exercent en libéral. Alors que dans un centre de santé, ils sont salariés par la structure. Or, les études actuelles démontrent que 60 % des jeunes médecins aspirent à pratiquer en tant que médecins-salariés au sein des centres de santé. Une formule attrayante qui allie métier, vie privée et familiale. Ce qui n’est pas le cas dans les maisons de santé”.

Ce que Jean-Pierre Péreuil, c’est le échéancier de l’éclairci de Pierre-Jean Pudal chez la genèse d’une cabane de interjection. “Comme par hasard, mi-2025, le maire sort de ses cartons un projet de maison de santé pluridisciplinaire avec un partenariat public-privé”.

Et de livrer. “La mairie n’a rien fait depuis 9 ans pour tenter de retenir les praticiens qui quittent le territoire et n’a entamé aucune démarche de prospection dans les universités de médecine de la Nouvelle-Aquitaine afin de pallier les départs à la retraite. Pourquoi avoir attendu 9 ans et se retrouver au pied du mur pour sortir de son chapeau un projet privé et libéral qui allie l’incertitude dans le recrutement et l’éloignement du centre-ville pour la patientèle. Lors de nos réunions, nous récolterons la parole des LIvradais sur ce sujet, et sur bien d’autres. Nous verrons bien ce qu’il en ressortira”.

La prairie quant à les municipales est bel et capital émise.

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