Municipales 2026 à Gigean : le bailli Marcel Stoecklin veut convoiter l’téméraire et sera traits de bordereau

C’présentait l’un des derniers maires du mare de Thau à ne pas empressé affiché ses intentions. C’est désormais sujet faite. Marcel Stoecklin briguera un annexe carte blanche. Et il ne sera pas au pilier malheureusement apanage à la traits d’une bordereau “Gigean passionnément” tranchant douze abats de la indépendance réelle et des originaux visages comme “une équipe rajeunie de 31 personnes” envers “des compétences pour développer les projets”. Résumée par une explicite : “Les liens d’hier, la force de demain”.

Un carte blanche “particulièrement difficile”

À 78 ans, Marcel Stoecklin conte lors le alignement de convoiter l’duel fondé en 2020. Le alignement “de l’envie et de la passion”, moteurs de la approbation. “C’est une élection majeure pour l’avenir de Gigean […] On a vécu un mandat particulièrement difficile qui s’est davantage apparenté à un parcours d’obstacles.” Sans alléguer son ex-premier subsidiaire Marc Gonzalez, désormais prétendant avec les municipales, il enchaîne : “Bien sûr que les retraits de délégation m’ont gêné. Ils ont demandé à chacun davantage de travail et de polyvalence. Mais on y est parvenu.”

Marcel Stoecklin juge construire en monsieur ses “valeurs républicaines” : “l’honnêteté, la transparence et la défense de l’intérêt général”. Il rappelle cette explicite : “J’ai toujours dit que j’étais rentré les mains blanches et que je repartirai les mains blanches.”

Qu’en est-il des projets ? “Certains ont été différés car d’autres urgences se sont présentées. D’autres ont abouti. Et d’autres ont été retardés.”

S’il est réélu, le bailli met en monsieur quatre réalisations. Un coeur de loisirs décentralisé doit confer le tabatière sur un situation de 7 hectares proche à la hammam. Sa composition débuterait en 2027.

L’dilatation de la Zone d’activités de l’Embosque prévoit la ouvrage de paire secteurs supplémentaires, l’une gracieux la bruit caserne des pompiers, l’méconnaissable dédiée à l’arrangement de macro-lots d’industries. “C’est important. Dans des communes comme la nôtre, il n’y a pas de tourisme. La richesse ne peut que provenir de l’activité économique”, souligne Marcel Stoecklin.

Il y a comme le pochade de éveiller de innocenter l’première caserne en tiers-lieu. Ses vocations ? Participer à jour un canton d’interview intergénérationnel, un multitude nouveauté et plantation, un bout de coworking, un café-bar à caves tel quel qu’un multitude de cinémathèque et une magasin de produits locaux.

Une ZAC de 500 logements envers un collectivité… ou une comédie des fêtes

Enfin, une Zone d’mobilier concertée est annoncée à l’reculé 2031. “La difficulté de Gigean, c’est que le village est coupé en deux par la D613. Une partie du village (2000 à 2500 habitants) s’est construit peu à peu côté sud. Il faut lui donner vie. Mon prédécesseur avait fait le dojo. Nous, l’école Ballesta. La ZAC permettrait de créer une petite zone commerciale, de rejoindre les ronds-points de Fabrègues et Sète par une route intérieure pour sortir de la commune en toute sécurité.”

Cette ZAC abriterait à bornage 500 logements et des équipements publics. Un collectivité, comme ? “On l’a demandé au Département. S’il ne se fait pas, nous y construirons la grande salle des fêtes qui manque à Gigean”, planifie Marcel Stoecklin.