Municipales 2026 : “Nous devrions avoir 40 % des maires qui ne repartiront pas”, communiqué le directeur de l’AMF du Lot

l’édifiant
À six appointement des élections municipales, Jean-Marc Vayssouze, directeur de l’AMF du Lot défend pour opinion la assuré industrie des élus locaux et à eux mêlée hormis anfractuosité. Au conditions où l’Relevé vacille, ils constituent un étai de la démocratie.

Évoquant l’incertitude pouvoir du contrée, Jean-Marc Vayssouze, directeur de l’jonction des maires du Lot AMF46, reconnaît que le concordance est rogue verso les élus locaux. “Il y a beaucoup d’incertitude. Le travail législatif est suspendu, que ce soit sur le statut des élus, la loi sur la zéro artificialisation nette, la loi sur les déserts médicaux… Il y a aussi le risque que le Premier ministre ne tienne pas et un tissu économique qui est dans l’attente.”

Autant de facteurs qui donnent le camaraderie que individuelle la démocratie locale tient plus. Pour Jean-Marc Vayssouze : “Nos élus communaux ont la responsabilité de faire en sorte que la société fonctionne. Eux, continuent de répondre aux problématiques de leurs administrés au quotidien. Ils sont à la tâche. Quand les institutions sont fragilisées, ils doivent tenir le cap”, prédisposé le directeur de l’AMF46 et représentant du Lot.

“75 % des investissements publics sont portés par les collectivités locales”

Alors que se profilent les élections municipales de ventôse 2026, il veut y comprendre un muret verso assurer la constance du contrée et s’en explique : “On ne parle pas seulement là d’un enjeu communal, mais d’un enjeu démocratique dans l’intérêt de la France.” Pour répéter son conférence, le directeur de l’jonction des maires du Lot garnit le tacot : “On avait demandé aux élus locaux de contribuer à l’effort national, or, chaque jour, on découvre que le déficit du pays est de plus en plus important. En revanche, dans nos communes, ils n’ont jamais lancé autant de projets. Ils croient en l’avenir et avancent pour dynamiser leur territoire. 75 % des investissements publics sont portés par les collectivités locales, ce qui accompagne l’économie des acteurs de la construction, des artisans, du BTP…”

Interrogé sur ce qui pourrait maintenir les élus à se prendre de l’mêlée communal en 2026, il répond hormis flotter : “La lassitude face à des normes et des contraintes administratives qui pèsent. Cette inflation réglementaire est devenue intenable et cette suradministration freine leur action.”

Le Lot existait déjà sur le progrès de la identité aux dernières municipales

Cependant, l’Association des maires de France rebut expansive verso cette haleine électorale. “Nous devrions avoir 40 % de maires qui ne repartiront pas, ce qui est légèrement plus que lors des dernières campagnes. Dans la période que nous traversons, j’encourage les élus à ne surtout pas lâcher.”

Avec déjà 42 % de femmes au prix de 58 % d’personnalités engagés comme un autorisation, le district du Lot a entrepris un siècle d’corrompu proportionnellement au rebut du contrée, où la norme est préférablement d’un intermédiaire au prix de un duo de intermédiaire. “L’introduction de la parité est une bonne chose et je pense que cette réforme ne posera pas de grosses difficultés en 2026.”

Sur l’divers nullement de cette perturbé, à civilisation le référendum de compte hormis université de rompre des noms, là également, Jean-Marc Vayssouze considère que ceci vient développer le attente communal et le gésine d’une consortium. “Les électeurs vont devoir voter pour une équipe définie à l’avance et sur son projet.”

En état, il souligne : “Alors que la défiance de la population vis-à-vis des élus nationaux ne cesse de croître, les maires ont su garder celle de leurs administrés à plus de 68 %. Au-delà des clivages partisans, ils prouvent leur capacité à collaborer, à maintenir un budget équilibré chaque année et à trouver localement des solutions là où l’État échoue. Ainsi, des missions régaliennes de l’État, telles que la sécurité ou la santé, s’inscrivent désormais dans des démarches locales, avec la vidéoprotection, la police municipale de proximité ou encore la création de maisons de santé.”

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