
Au lolo du stuc montpelliérain depuis cinq ans, Théo Giner cueillette, étudie et met en perspectives les situation scientifiques instrumentées quant à de amadouer un courbe de ce qu’est la menée féminine réelle du rugby.
Vous vous-même êtes foncièrement déjà demandé où allaient les situation recueillies par les GPS placés sur les joueurs du TOP 14 ; ou comme fonctionnent les mécanismes décisionnaires des protège-dents connectés. “On parle plutôt de protège-dents instrumentés, reprend Théo Giner. Car, il ne s’agit pas seulement de matérialiser des données chiffrées mais de les lier à une pratique dont elles peuvent paraître trop éloignées“.
Hé avoir, ces outils ultra-professionnels sont devenus richesse quotidienne comme le monde (semi) gourmand ; les (nombreuses) petites caméras vertes agréable dessus des terrains fédéraux en attestent. Théo Giner consacre sa attestation doctorale en Sciences du Mouvement Humain à ces outils… de connaissances : “On apprend toujours par le temps passé auprès des joueuses. Les connaître, c’est se pencher tant sur leurs caractéristiques humaines qu’athlétiques“.
Croire les chiffres, entendre l’désintéressé
Car, oui, quant à ce opérateur sensuel, causer des caractéristiques de la menée féminine n’est de rien une infamie ou une sacrilège : “Le sport est le même, mais les spécificités réelles. Ma recherche propose une matérialisation de l’écart entre un match international et national – donc de championnat – afin qu’un technicien puisse adapter son entraînement. D’ailleurs, la FFR me fournit le matériel et bénéficiera des résultats de mon étude. L’objectivité des chiffres est essentielle pour définir un cadre, la subjectivité des sensations individuelles est primordiale“.
Si le GPS ne dit pas continuum de la joueuse qu’il arrangé – “j’ai besoin de savoir comment elles vont, comment elles dorment, comment elles se sentent tout simplement” –, il est uniquement un moirure des labeurs quoi elle-même prend acte. “L’outil évalue l’activité de déplacement, exemplifie le thésard. Ses données sont un arrêt sur image : elles me parlent de la distance totale parcourue, dénombrent les accélérations, notent la vitesse maximum. À terme, je veux pouvoir dire ce qu’est le déplacement en match d’une athlète féminine“.
Le protège-dents arrangé, quant à sa acte, ne saurait entité bouge à un isolé risque de emballement : “Il évalue les facettes du contact en match. Outre l’intensité, il évoque les fréquences des collisions. En allant plus loin, il est utilisé pour cartographier leurs orientations et même leurs positions sur le corps“.
“Une image précise de la performance”
Et l’on comprend commodément que, depuis vers siècle, les préparateurs physiques apparaissent, sur les compositions d’équipes, pendant acteurs à acte spéciale des staffs amateurs : “Les données sont révélatrices de l’activité concrète en match. Quelles indications donnent-elles sur les franchissements ou les mètres gagnés par exemple ? On peut même faire le lien avec les touches manquées ou réussies”.
L’risque de la faux-semblant doctorale de Théo Giner tient comme ce fil crispé compris sedémener quant à la joueuse – “je leur transmets des questionnaires pour recueillir leurs sensations d’entraînements” –, ordre des chiffres et pâli vrai : “La performance est réelle et nous avons besoin d’en avoir une image précise“. Pour performer, il s’agit en conséquence de escient ce que l’on peut, en exercice du ambiance, enjoindre de l’précédemment : “En cinq ans, j’ai appris que l’adaptabilité était primordiale. Les choses ne se passent pas toujours comme on l’avait prévu, les solutions sont parfois à trouver très rapidement. Il faut se donner les moyens d’étudier une pratique pour s’y adapter“.

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