Pour le modéré de la quatrième date de Régionale 1, le chaire de cette perdreau 1 se jouera, surtout, sur cette simultanéité volcanique pénétré les Rives d’Orb (4e, 10 points) et Plages d’Orb (5e, 9 points).
Dans un derby, on s’oppose car on se ressemble : “Avec Bédarieux, nous sommes trois à vouloir cette place en finale, reconnaît Eric Challier, manager des Rives d’Orb. Ce n’est pas un test car on s’est déjà déplacés à Fleury, ramenant un bonus. Mais il y a l’histoire, une rivalité de l’Hérault entre nous“.
Et à ce diminué jeu, l’bénéfice est dans Rives d’Orb : “On reste sur quatre défaites consécutives, rappelle Enzo Picarelli, coach des trois-quarts de Plages d’Orb. Deux ans que nous n’arrivons pas à les battre donc c’est un beau défi. L’an passé, malgré de bonnes armes, on y perd d’un point. Mais il n’y a pas eu photo quand ils nous ont largement battus à la maison“.
Alerte à Rives d’Orb
S’il y a un externe à poser en inventaire pénétré ces voisins, c’est une intersaison sympathique dans l’un, terriblement importun dans l’disparate. “Le groupe a beaucoup bougé, il faut que cela prenne mais la préparation a été très bonne, poursuit Enzo Picarelli. Je considère que c’est une chance de s’être déplacés deux fois sur trois, surtout avec deux victoires“.
“Comptablement, dix points sur quinze possibles, c’est positif car nous ne sommes pas au complet depuis la préparation qui n’a ainsi pas été normale, déplore, quant à lui, Eric Challier. Trop d’absences et de blessés, des Juniors heureusement en renfort. Il devient urgent de rentrer petit à petit du monde car on n’a pas réellement eu l’impression de démarrer la saison“.
“Joker grillé” dans Plages d’Orb
Trois victoires dans une aléa quiconque, écarté un aucunement de rallonge menaçant les sépare, plaçant Rives d’Orb en portrait. “Sur nos deux premiers matchs, on a constaté une très bonne défense et une touche forte. Cela aurait été parfait sans ce joker grillé à domicile, pour lequel je nous tiens, l’encadrement, en partie responsable dans l’approche de cette réception, confesse Enzo Picarelli. Bédarieux, très physique, nous a laissé des blessés non sévères. On espère les avoir récupérés car c’est décevant de ne pas être au complet sur un derby“.
Eric Challier, arraché d’une inoccupé de triade ans, pourra ménager sur la épanouissement des siens : “J’ai retrouvé un groupe qui a mûri car il est composé des joueurs que j’ai accompagnés de Juniors à Seniors. L’effectif s’est étoffé mais si on accumulait plus de blessés, il faudrait compter sur la chance face aux grosses écuries ; pourtant, je sais qu’on peut exister“.
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