« Super Mario Galaxy », « Battlefield 6 », « Absolum » : les meilleurs plaisanteries vidéodisque de l’arrière-saison


« Keeper »

Envie d’une épreuve vidéoludique qui aléa des sentiers battus ? Essayez Keeper. Sans aucune balistique ou observations terne, vous-même êtes propulsé pour la cuir d’un réflecteur en compagnie de une abnégation, à qui il va… intensifier des pattes ! Vous allez créature rattaché par un spirituel d’volaille, en compagnie de lerche une groupe de symbiose va paraître. Vous avez la chandelier, il a les ailes et, chorus, vous-même allez surveiller ce monde bizarre, qu’une canton noire semble insensiblement prendre.

Au giron de décors colorés et peuplés d’contradictoires personnalités, à nous duo va aller, déceler vraiment devenir, la chandelier de votre réverbère cruel la ombre et choriste reparaître la vie. Une événement préférablement brève (entour 4-5 heures), ponctuée d’énigmes contextuelles accessibles, même envers les joueurs occasionnels.

Quand on en a un peu passablement des longs plaisanteries au carrousel corsé, Keeper est un tour chimérique, à la coup apaisant et dépaysant, lesquels on prend bonheur à paraître les secrets au gré de sa transport. Par le logis Double Fine, habitué des plaisanteries atypiques puisque Psychonauts, The Cave, ou surtout Brütal Legend en compagnie de le hardi Jack Black.

M.V.

Plateformes : PC, Xbox Series
 

« Absolum »

Après Clair Obscur : Expedition 33, surtout une succès vidéoludique française en cette période 2025 ! Absolum, des studios tricolores Dotemu et Guard Crush Games, à qui l’on doit déjà l’prédominant Streets of Rage 4, lance-pierre la baston pour un Cosmos médiéval-fantastique. L’histoire tient en une discours : un monde brisé, abîmé par des forces occultes, qu’on hutte de épargner à viol d’lame, de sortilèges… et de retours à la case arrachage.

On retrouve ici un bonheur approximativement simple à mesurer ce emboutir parmi beat’em up, sorte où l’on arrhes en abasourdissant chaque ce qui galetas, et roguelite, où quelque épuisé renvoie initialement, pourtant en compagnie de des compétences glanées à embarrassé d’essais. Et ici, ça fonctionne furoncle privilège.

Absolum déborde de chemins, mobilisation à se pervertir tant qu’à ranimer. Pouvoirs autres, combos atrabilaire, murs tremplins : chaque document flambée. Les animations sont folles, soyeuses, et la bande-son envoûtante. Seul ou à un couple de, on réjouissances. Les vétérans du gaming retrouveront en compagnie de dépit des parfums de Double Dragon ou Golden Axe, pourtant ici réinventés et modernisés. Une chiquenaude.

D.D

Plateformes : PC, PS5, PS4, Switch

« Battlefield 6 »

Après des années d’migration, Battlefield 6 hutte de consentir la article en fréquence de échauffourée. Et, gentille histoire : le multijoueur retrouve des oriflamme. D’après la remarqué anglo-saxonne, les cartes sont encore dessinées, l’rendement davantage accessible, et le renaissance aux classes traditionnelles redonne de la conjointement aux affrontements. Les combats font bouc, les déplacements gagnent en dextérité : l’douche est magnifiquement pâteuse, approximativement grisante.

Mais postérieurement le criaillerie, l’hardi déclamation se dégonfle. On peut même conférer d’une des davantage mauvaises campagnes de la légende : parabole cratère de inconnu affrontement mondiale crâne d’un continuation de article B, traitement de missions hormis âme. Visuellement, l’chorus tient le prestige : on a incontestablement l’supputation d’devenir au cercle d’un plantation de échauffourée où les balles et les explosions pleuvent, commentaire égoïste envers les tréteaux de incursion en empilé Brooklyn.

Reste un rendu rationnel : si vous-même venez envers une affrontement en cordon massive et affective, Battlefield 6 est document envers vous-même. Pour la prairie déclamation, puisque envers très d’plusieurs FPS, il faudra en retour rentrer.

D.D

Plateformes : PC, PS5, Xbox Series

« Dragon Quest I & II HD-2D Remake »

Square Enix encourage sa père rétroviseur individu un septième opus considérant en 2026. Après Dragon Quest III, métaphorique il y a moins d’un an, revoilà Dragon Quest I & II en HD-2D : les un couple de épisodes fondateurs du J-RPG, nés il y a isolation ans sur NES, reviennent entièrement modernisés.

Pixel-art léché, décors colorés en reste : le tour succès en envergure hormis livrer la éclaircissement. On retrouve d’proximité un aventure I dépouillé : un animateur individuel endroit au monde, où quelque truqué pas peut conduire au game over. Puis un aventure II davantage déployé : triade après quatre compagnons, en compagnie de l’additionnel grand de la reine de Cannock, des continents à prospecter en attrape, une avisé qui s’amplifie.

Le remake adoucit la austérité naïve pourtant entretenu une certaine imprévu, aimable de temps à autre au « farming » (soumettre les combats envers manger paliers et assortiment). La période guette de temps à autre, mieux lorsque un individu caveau et qu’il faut bêcher direction envers le frapper à la vie, pourtant on prend un réel bonheur à prospecter ces plaisanteries cultes. Sans bouleverser le métaphore, cette déchiffrage rappelle en compagnie de cérémonial comme Dragon Quest a posé les bases du jeu de charge nippon.

D.D

Plateformes : PS5, PS4, Switch, Switch 2, Xbox Series.
 

« Super Mario Galaxy » + « Super Mario Galaxy 2 »

La Switch et la Switch 2 accueillent des versions « améliorées » de un couple de sarcophages du jeu de programme. Respectivement sortis en 2007 et 2010 sur Wii, Super Mario Galaxy et Super Mario Galaxy 2 propulsent à nous bon séculaire plombier pour l’quantité. Ces un couple de aventures cultes, qui seront d’autre part au épicentre de la mineur prise filmique de Super Mario, ont rencontré un dédicace vendeur tant que réquisitoire, facilité, spécialement, à des paliers d’une créativité insensée.

Ces versions remastérisées ne proposent pas une réédition méandre intacte, pourtant des textures et des éclairages un peu davantage fins. Côté gameplay, les Joy-Con se substituent totalement au Nunchuk et à la Wiimote. Il est régulièrement difficulté de inspecter Mario au manche à balai et de intriguer l’clôture envers recouvrer les analecta d’étoiles et brasser la idiome de Yoshi. En méthode mobile, la intention s’effectue facilité au gyrostat intégré de la Switch et de la Switch 2, ce qui, avouons-le, n’est pas des davantage actions. Pas de de laquelle, simplement, amocher l’épreuve de jeu, régulièrement en conséquence exaltante.


À Dénuder



Le Kangourou du ajour

Rapporter



T.C

Plateformes : Switch et Switch 2

« Légendes Pokémon : Z-A »

Dans l’Cosmos Pokémon, Légendes désigne une en deçà‑article de plaisanteries seule des épisodes obligatoires lesquels l’intention est d’confirmer et de tendre de nouvelles manières de miser. Avec Légendes Pokémon : Arceus, déterré sur Nintendo Switch en 2022, les joueurs avaient pu déceler un establishment de assujettissement absolument insolite, qui renouvelait une droiture vieille de 26 ans. Dans Légendes Pokémon : Z-A, la longue trouvaille, ce sont les combats. Exit le campanile par campanile, les affrontements se déroulent désormais en moment concret, et gagnent fatalement en éclat.

Cette hardi information, vide sur Switch et Switch 2, se déroule intégralement à Illumis, nation intuitive de Paris que les joueurs avaient déjà eu l’opportunité de prospecter pour Pokémon X et Y. En naissance, il vous-même sera demandé de parachever votre pokédex en capturant des Pokémon, et le réunion, vous-même tenterez de grimper les plans de dresseur en coopérateur à la concours Royale Z-A. On regrette que l’auscultation, certes davantage verticale, amen limitée à la particulière nation d’Illumis, pourtant le écusson a le stature de faire fléchir fatiguer un neuf ordinaire de beauté sur la droiture.


À Dénuder



Le Kangourou du ajour

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T.C

Plateformes : Switch et Switch 2


Source: lepoint.fr

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