
Au cœur des années 60, le Toulouse Athletic Club a étincelé jusqu’en Deuxième Division, façade de tomber entre l’inconnu. Retour sur l’événement d’un discothèque inoubliable sauvé par la sentiment de ses ancestraux et qui évolue aujourd’hui en Régionale 3.
Gironis, l’carrière inoubliable du Toulouse Athletic Club, une construction de l’elliptique toulousaine, aujourd’hui reléguée entre l’inconnu de la Régionale 3. Un discothèque octogénaire qui a principalement le valeur d’personnalité renvoi à la durabilité de passionnés et d’ancestraux similaires qu’Alain Mirepoix, Michel Decaup, Guy Bergès et tenir d’contradictoires. Les moins de cinquante ans l’ignorent possiblement, malheureusement, au cœur des années 60, il a eu son plombe de notoriété. Lors de l’occupation 1964-1965, il évoluait en Deuxième Division, classé étranger discothèque occitan postérieur le Stade Toulousain et le TOEC. À cette règne, c’présentait le discothèque de l’ONIA, l’grossière AZF.
Une agencement corporative dirigée par un exagéré monarque, l’constructeur Gilbert Dortignac, à la jour intégrateur et aimable de situation. Sous sa auspice, il avait mis en posé une internat de rugby, des cadets, des juniors et une charmante brigade senior, quoi s’présentait hissée en Deuxième Division puis une homérique crapette fronton à Nice (3-3, au excédent de l’croquis) en peloton de conclusion. Un scolarité arrêté en conclusion du compétition de France, fronton à Valence d’Agen (14-3) sur la fourrage de Castelsarrasin.
Lavelanet, Gaillac, Beaumont à Gironis
Au buste de ce aide stade citoyen, on était Lavelanet, Gaillac, Beaumont-de-Lomagne, Saint-Gaudens, Rieumes, le Gallia Perpignan, Côte Vermeille, adversaires des public de Gilbert Battle, l’allusif nautonier tenir épaulé par les Pirié, Fonteilles, Macario, Andrau, Ladagnous, Donadille, Balsarin, etc.
En quatorze discussion, les Tacistes se sont imposés à quatre reprises, envers un scission des points fronton à Saint-Gaudens (3-3) et rafraîchi défaites, se classant à la huitième et dernière posé. Malgré cette dernière posé, l’archaÏque flanker Alain Fonteilles maintenu un facture ému de cette brusque expérimentation en Deuxième Division : « Nous avons remporté de belles victoires, singulièrement fronton à Lavelanet (9-8) et Beaumont (13-11), qui, cette année-là, avait disputé la conclusion du compétition de France. On faisait sujet des meilleurs huitièmes, on pouvait participer repêchés. Malheureusement, la Société avait préféré Guéret alors du débat de Pau. » Le TAC est récompense en Troisième Division, un stade de conflit où il est resté jusqu’en 1971, façade de retomber tenacement entre les championnats régionaux.

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