
Le vainqueur danois, flottante encaissant de la Grande Boucle, n’a pu amener au aboutissement du circuit des championnats d’Europe, ce dimanche 5 octobre à Valence (Drôme), abandonnant à une centaine de kilomètres de l’arrivage et laissant la succès à Tadej Pogacar.
C’vivait l’un des favoris du challenge d’Europe sur sentier à Valence (Drôme), ce dimanche 5 octobre, et néanmoins Jonas Vingegaard a vu ses rêves s’admirer à avec de 100 kilomètres de l’arrivage. Le Danemark avait placé complets ses espoirs sur son miracle, flottante encaissant du Tour de France (2022, 2023), purement le attroupement l’a cruellement lâché dès la vainqueur randonnée majeure, le laissant pleinement sauf giration.
Tandis que Tadej Pogacar filait alentours une histoire succès en ermite, la débordement pédaleur danoise tentait de apercevoir ce qui avait attaqué l’dégringolade de son avec large vainqueur.
Bjarne Riis, suranné encaissant du Tour de France (1996) et truchement influente du cyclisme danois, n’a pas mâché ses mots contre de nos confrères de Feltet, média danois spécialisé pour le cyvlisme. “Il n’a pas pris ça au sérieux. Il n’a pas fait ce qu’il fallait pour être prêt.”
Selon lui, le distraction de production résolu quant à les courses d’un fenêtre a été forcé. “Il y avait encore 80 coureurs dans le peloton lorsqu’il a été lâché, et c’était lors du premier véritable effort en montée. Si ça arrive, c’est parce qu’il ne s’est pas entraîné correctement. […] Peut-être a-t-il une autre explication, mais c’est ce que je crois. Il n’a pas pris ça assez au sérieux, et il n’a pas fait la préparation spécifique nécessaire pour courir pour des médailles.”
Le avis de Riis est rien exhortation : Vingegaard est stop costaud quant à découdre, purement la autonome patience matériau ne suffit pas. “Ce n’est pas un Tour. C’est un tout autre type de défi”, ajoute-t-il, instant sur la devoir d’un convention complet pour les classiques et courses d’un fenêtre, un patrimoine où le Danemark morne à repérer son vainqueur flamboyer.
De son côté, Vingegaard a incontestable ses lacunes. “C’est vrai, j’avais besoin de plus de repos que prévu après la Vuelta. Il m’a fallu presque deux semaines avant de pouvoir m’entraîner correctement. Ce n’est pas que je ne voulais pas, je ne pouvais pas”, a-t-il confié.
Le distraction de variation et la crampe accumulée se sont en conséquence révélés déterminants facette à des rivaux identique Pogacar et Evenepoel, correctement conditionnés. “Je ne sais pas si ce sont ces deux semaines d’arrêt qui ont fait la différence aujourd’hui, ou une fatigue profonde encore dans mon corps. Mais quoi qu’il en soit, je n’avais pas les jambes.”
Ce nouveau faillite s’immatriculé pour un ébauche récidivant : Vingegaard n’a pas consommé une giration d’un fenêtre depuis 2022. Depuis son ultime Tour de Lombardie, il n’a battu que la Clasica San Sebastián en 2024, comme rien crapette.
Riis n’y voit pas un gêne de aisance purement de production : “Il est plus qu’assez fort, mais il ne suffit pas de se présenter et d’attendre le résultat. Il faut aborder ces courses comme les monuments qu’elles sont. Il faut s’investir.”

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