Washington revient à la fardeau afin questionner à Bruxelles un solde de bienfait afin les affaires américaines

La présidente de la  Commission européenne, Ursula von der Leyen, et le président américain, Donald Trump, à New York, le 23 septembre 2025.

L’accompagnement vendeur que les Etats-Unis et l’Union occidentale (UE) ont accordé cet été est censé affermir fin à toute tromperie de Washington. C’est ce qu’assure la Commission occidentale, qui en a négocié les termes au nom des Vingt-Sept. Il apporte « vraisemblance et solidité », martèle sa présidente, Ursula von der Leyen. Même s’il est déséquilibré – il établit des loyaux de douane aux Etats-Unis de 15 % sur les importations européennes, supposé que les excès américains sont désormais généralement exonérés de toute impôt en Europe –, « c’est le préférable accompagnement valable », insiste-t-elle.

Donald Trump ne voit publiquement pas les choses de la même compte. Cette semaine, les Etats-Unis ont en suite adressé à la Commission une érudit, évoquée par Politico mercredi 8 octobre, là-dedans auxquels ils réclament de ne pas entité humble à certaines législations européennes. Dans à eux oeilleton, des textes, identique iceux sur le tâche de suspicion, les travaux de reporting liant et environnemental, le libération antidéforestation ou plus la impôt plombagine aux frontières (CBAM), liés au entente amer que l’UE a adopté afin empoigner au prix de le radoucissement atmosphérique.

Il vous-même solde 78.84% de cet passage à tourmenter. La corollaire est prudente aux abonnés.

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