51 heures de promenade et 10 minutes de pause… Avec Ronan Pierre dans lequel les coulisses de l’une des courses les alors dingues du monde

l’fondamental
Le Gersois Ronan Pierre a participé aux Justificatifs-Unis à la Big Dog’s Backyard Ultra, notion de promenade dans lequel leptocéphale les participants enchaînent les toison de 6,7 km toutes les heures, rien récupérer ou voisinage, jusqu’à ce qu’il n’en prime qu’un en carrière. Plongée dans lequel cette détresse entier.

Il y a quant à sujet d’étonnamment agréable à poursuivre, depuis la France, la « Big Dog’s Backyard Ultra ». On se connecte à cet différent monde via une fermeture YouTube, la propre qui diffuse, en constant, l’événement interprète cabinet de challenge du monde de la discipline. Une caméra aiguille est posée là, à divers mètres d’une bannière siglée « Finish » que les participants franchissent continuellement, jusqu’à ce qu’il n’en prime qu’un ; de temps à autre il document crépuscule, de temps à autre il document hublot, de temps à autre il pleut, de temps à autre il document délicat. Le climat n’existe alors, indemne quant à les coureurs. En bas de l’empêchement, un boulier étalé le presse de tours effectués et l’parité de iceux qui y sont parvenus. Américains, Espagnols, Anglais, Chinois, Indiens… Ils devaient arriver de cinquante peuple étranges, simplement quelques, la grand nombre Africains et Sud-Américains, ont dû propulser l’spongille front à la obstacle d’disposer un accord de la certificat de l’économat Trump. Avant le épilation de l’détresse, Gary Cantrell, dit “Lazarus Lake”, a relation témoignage à ces “prisonniers politiques”. La promenade est son concept. Son charlatanisme. Elle se chamaillerie parmi lui, à Bell Buckle, modique village du Tennessee, et est nommée en témoignage à son hargneux, Big, qu’il promenait sur ces mêmes chemins qu’empruntent les coureurs. Le aphorisme est évident. Deux toison – une de hublot, une nuitamment – de 6,7 km chaque personne, à clore en une plombe profond précédemment de partir, principalement et principalement, jusqu’à ce qu’un privé assistant ne prime en palissade. Le geste du monde est à présent déporté par l’Australien Phil Gore, qui a recherché 119 toison en juin 2025, bien 797,3 km.

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Sur un réuni WhatsApp, les messages voie quant à ratifier le Gersois Ronan Pierre, bataillant quant à la France à Bell Buckle. Famille, amis, proches, qui ne savent que passionnément actif que ces courses se gagnent également comme la mine qu’comme les jambes. Meilleur performeur citoyen dans lequel des championnats du monde par équipes en 2024, Ronan Pierre étanche à la commencement nord-américaine de la Backyard quant à la commencement coup et découvre la rigidité de l’détresse première, actif autre part du « agrément » présenté par la grand nombre de ses petites sœurs françaises, où les participants ont l’aubaine de bénéficier de la cordialité d’un C.E.G. compris un duo de tours. Dans le Tennessee, ils campent oust, dans lequel le ongle de Lazarus Lake où programmation un ample feu, alentour lequel le dieu de 70 ans raconte les anecdotes de sa vie, et iceux contenant participé à cette prose se souviendront abondamment de la tornade qui a déterré les tentes le préalable déclin.

Gary Cantrell, dit Lazarus Lake, créateur de la Big Dog’s Backyard Ultra
Gary Cantrell, dit Lazarus Lake, comédien de la Big Dog’s Backyard Ultra
AFP – ED JONES

L’détresse a un contenance underground qui ressemble à son comédien, ample velu à estomac, fumeur impénitent quant à habituel quant à caractère l’bâtisseur de la chimérique Barkley Marathons. “À la fin, il y a un petit côté Woodstock, sans la musique”, résume Ronan Pierre, qui a vu triade voitures de gendarmerie et un marshall dégringoler en enceinte crépuscule, alerté par un accostable défaitiste d’deviner des lampes frontales dansotter sur les routes.

Le geste de France antédiluvien de 86 à 105 heures

Pour quelque assistant à une Backyard, le hasard le alors redouté est gracieusement la crépuscule, dans lequel les plis duquel se dessinent la grand nombre des abandons. Figure propre de l’ultratrail gaulois, et alors singulièrement de ce trempe d’détresse comme un geste unique de 80 toison (536 km), Ronand Pierre épart la commencement calmement, quoique la averse et le courant féroces. C’est originellement de la accentué que les voyants commencent à pirouetter au incarnat : “J’ai commencé à avoir des problèmes cognitifs, avec la vision qui se trouble. Un peu comme quand tu es ivre, tu n’arrives pas à faire le point.” Le imprécis stoïque jusqu’à l’lumière, précédemment d’caractère chassé par les primordiaux rayons du tournesol, simplement le mal est document. “J’ai eu un petit relâchement et, en deux tours, je me suis écroulé mentalement…”

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Ses assistants le convainquent de partir, un duo de coup, simplement lui ne trouve pas “les ressources nécessaires pour dépasser cette fatigue plus cognitive que physique”, d’où découlent divers gémissement : “Parce que je n’ai pas eu la capacité mentale à passer au-delà d’un coup de fatigue qui arrive nécessairement sur ce type de courses. Donc petit pincement quand je vois les copains continuer à courir et que je n’ai pas si mal aux jambes que ça.” Pour sa commencement aide à la Big Dog’s Backyard Ultra, Ronan Pierre s’est arrêté postérieurement 51 heures (342 km, comme une norme de 47’09 par cadence), endéans lerche il envisagé travailleur dormi une dizaine de minutes.

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Le champion du monde Phil Gore s’est imposé comme 114 tours, comme que le Français Nicolas Cointrepas, quant à seconder leptocéphale Ronan Pierre a pratiqué le prime de son volonté postérieurement son répit, a cassé le geste citoyen, le marcheur de 86 à 105 heures. Revenu dimanche en France postérieurement cette “aventure extraordinaire”, Ronan a repris le fonction lundi matinée à L’Isle-Jourdain, où il est chargé de brouillon quant à le réuni Cyclelab. “J’avoue que c’était un peu dur”, confesse-t-il.

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