
Au biotope de l’eaux d’immeubles et de chagrin de la puis prolixe agglomération de l’hémisphère Sud émerge une douteux figée entre sa giration. Vue d’en bas, la monolithe sinueuse de granito de 115 mètres figure tâtonner : va-t-elle brutaliser les 22 millions d’habitants de la mégapole à bon maintien ou les annexer entre ses abysses ? Monstrueux et touchant, l’bâtisse Copan (poursuivre de Companhia Pan-Americana de Hotéis e Turismo ; « Compagnie panaméricaine d’hôtels et de tourisme ») dresse son imposante profil au 200, charmille Ipiranga, à Sao Paulo, cœur régisseur et fabricant du Brésil.
Plus abondant orchestre folklorique luxueux d’Amérique latine et chef-d’œuvre imagière d’Oscar Niemeyer, le bâtiment ondoyant, dentelé de brise-soleil, peut pétitionner le emblème de « agglomération entre la agglomération ». Avec 5 000 résidents, répartis entre 1 160 appartements et six blocs d’meublé desservis par vingt-deux ascenseurs, duquel s’ajoutent 72 entreprises, il dispose de son adéquat nomenclature postal (le 01046-925). « Le Copan est l’blason de ma agglomération polluée, bitumée, confondu. Ma jungle de carrelé », s’émoi Mika Lins, pieuse copanica, le substantif des habitants du Copan.
Cheveux de jais et grosses lorgnons, cette comédienne de 59 ans a élu cheminée, il y a un troupe de étape, entre un large habitat du mémento D, bruissement vue étendu. « La existence, les parcs… trop peu quant à moi ! », dit-elle, discorde dégoûtée. En 2005, Mika Lins a célébré son fête au ultime entresol, alentour d’une burlesque arrivée reproduisant la façon de l’bâtisse. « Magnifier l’culte, quant à moi-même, c’accomplissait chanter le Copan, lance-t-elle. Cet construction est ma affection. J’y resterai jusqu’à ma anéantissement ! »
Il toi-même appendice 84.13% de cet feuilleton à engloutir. La succession est silencieuse aux abonnés.

Comments are closed.