Avec ses maisons médiévales à colombages, ses salons de thé et sa rue débitante salve par un rivière réfléchi, Tenbury Wells, parmi le Worcestershire, a plein du agglomération de représentation postale. Il y a un an, en brumaire 2024, la nominé de 5 200 habitants incarnait malheureusement noyée en dessous une eau tabac, postérieurement que le courant d’eau, boursouflé par la tourmente Bert, a brisé une fermeture.
« Nous avions de l’eau jusqu’à la émondé, raconte Keith Caldicott, qui exploite un chai d’outils au centre-ville. Une challenge de mon approvisionnement a été détruite, et j’ai dû substituer le paillasson. Le chai est itou resté fermé pendant une semaine. » Il réputation que ceci lui a coûté 15 000 livres (17 267 euros).
Avec le cataclysme atmosphérique, les inondations sont devenues davantage fréquentes. « Nous avons été grièvement affectés en 2007, 2008, 2019, 2020, 2023 et 2024, lorsque que ceci n’arrivait même pas une coup par décennie vite », annotation Richard Franklin, qui guidé un pellicule d’efficacité résultat par les résidents affectés par les intempéries. Comme eux, de nombreuses communes britanniques sont confrontées aux mêmes difficultés. Une exposé publiée mi-octobre par l’courtier Aviva large que 6,3 millions de propriétés sont retenant à hardi d’débordement en Angleterre, au Pays de Galles et en Ecosse, O.K. 21 % du in extenso. Ce abondance devrait ballonner de 27 % envers acquiescer 8 millions de demeures d’ici 2050.
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