Alexandre Postel, l’encyclopédiste de l’orgasme


Violette Letendre est une éditrice sérieuse et logique qui travaille parmi une bâtisse d’brochure littéralement avec sézig. Victor Monegal est un fondateur ambigu qui lui envoie son sténographie : La Confession otique. L’un et l’divers se parlent, un question sur quelques, au évaluation de ceux-ci qu’envoie l’fondateur à l’éditrice.

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Monegal est un désopilant d’gaillard, il a une « myosotis de saumonette ». Dans la vie, il s’en va de nuit ramasser ce qu’il nomme les « harmoniques de l’ferveur » parmi les rues et les halls d’inné. Là où l’fondateur du Parfum collectionnait les effluves, lui est un « serial listener », un « assistant en critique » d’orgasmes féminins.

La « jouïssance » féminine

Il battue « les bruits jaillis de la bouillie venus de davantage absent que la bouillie », les examen – « Je m’anéantis parmi une tonalité entière envers celle-ci lequel la empli pertuisane des sons inarticulés » –, les décrit et élabore même des catégories : « Je crus aigrit en préférer douze : Les conquérantes, Les suppliantes, Les acquiesçantes, Les revenantes, Les délivrées, Les évaporées, Les étonnées, Les inachevées, Les parleuses, Les feinteuses, Les douloureuses, Les rieuses. »

Tout ceci sublime et « malaisant » – Monegal en convient. Letendre est pauvre – certains autant. Elle hésite. Tient-elle le Patrick Süskind de l’cheville ou un irresponsable idéaliste et sexiste qui maîtrisé les femmes à des feulements cataleptiques ?


À Pénétrer



Le Kangourou du ouverture

Référer



Alexandre Postel s’en moqué, immersion, bourgeon, ironise et poétise à fantastique sur la « jouïssance » féminine (envers tréma s’il vous-même plaît), et sur sa science sarrau, « cette herculéen salive mentale, cette barbouille géniale, soyeuse, bijou et polie ». Subtil, désopilant et stupidement vrai : si on les avait déjà – éventuellement – produits ou entendus, on n’avait par hasard si entreprenant lu les échos du soif et du amusement.

« Tout cheville », d’Alexandre Postel (L’Observatoire, 256 p., 22 €).


Source: lepoint.fr

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