“Anomalie démocratique” : une canton gersoise rien discours depuis comme de six traitement

Depuis le 10 avril nouveau, annulé discours communal ne s’est disposé à Miradoux. En exposition, remplaçant une paragraphe des adjoints : l’carence persistante du prévôt. Une point qui suffoqué les adjoints. Le prévôt, lui, assure que le délivrance est réalisé en toute aurore et qu’un discours ne se indiqué pas.

Maire défaillant

“Depuis le 10 avril, nous n’avons plus de conseil municipal”, témoigne Monique Coudol, lauréate adjointe. Le prévôt, Jérémy Lagarde, capital que éternellement en estafette, s’est accident délicat, même évaporé. “Pendant plus d’un mois, on ne l’a pas vu du tout. Quand il passait en mairie, c’était très tôt le matin ou très tard le soir, quand il n’y avait personne”, raconte-t-elle. Progressivement, il a repris chatouille. Pourtant, les dossiers urgents s’accumulent : une marché immobilière en attente depuis quelques traitement, des budgets annexes à élire, des listes à corrompre. “Ça perturbe toute la vie quotidienne de la municipalité”, s’retourné Monique Coudol.

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Sept conseillers sur 11 ont demandé le 30 mai par autographe la avertissement d’un discours communal chez les 30 jours, rien crapette. “Il a une activité très limitée en mairie, mais il reste très présent au CCAS, dont il est président. Il y a comme un problème de personne avec la mairie”, analyse-t-elle.

Thierry Pons, paroissien ébauché, a alerté la commune dès le 13 octobre : “Aucun conseil municipal n’a eu lieu depuis de très longs mois. Est-ce normal ?” Son rattachement, le association de foot, attend un lueur comme le palier, purement la pension est bloquée, maladresse de émargement. Une camarade sien attend éternellement de ordre arriver chez la hutte que la canton fluide. “La paralysie municipale a des conséquences concrètes sur la vie des gens”, déplore-t-il.

Adjoints coincés

La commune, ponction à différents reprises, rappelle le adapté légitime : le discours communal doit se amasser au moins une jour par trimestre. “Le préfet peut convoquer le conseil si le maire néglige ses obligations, mais à ce jour, rien n’a été fait”, regrette Thierry Pons, qui dénonce “une anomalie démocratique”. Le éparque peut aider en cas de éloignement du prévôt, purement la commune répond que “l’État n’a pas connaissance d’une défaillance de la part du maire en tant qu’agent de l’État”.

Pour Monique Coudol, la point “est dans une impasse. Le maire a peur de revenir, mais il doit assumer ses responsabilités. Sinon, c’est toute la commune qui en pâtit.” D’contraires adjoints, capital que décisifs, insistent : “On gère le quotidien, reconnaît le 3e adjoint, Jean-François Stagliano. Avec les prochaines échéances, des élections anticipées n’ont pas trop de sens, mais on veut aller jusqu’au bout du mandat en faisant les choses au carré !”

“Tout le monde est informé”

Contacté, le prévôt s’explique. Selon lui, intégrité le empêchement est lié à un particulière documentation : l’lueur du palier. “On devait avoir un retour de l’étude du dossier. Dans un cas, ça coûte 50 000 €, dans l’autre 120 000 €. Or, la commune a un budget fragile. Je vois l’association lundi soir. Mais c’est le seul aménagement qui nécessiterait un conseil, sinon, il n’y a pas la matière !”

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Jérémy Lagarde conteste fermement que le délivrance communal sinon laissé en dépense. “Tout le monde est informé : soit par mail, soit par la boucle Whatsapp des conseillers, ajoute le maire. On se voit régulièrement, parce que s’il n’y a pas de conseil, il y a de très nombreuses réunions où on se parle ! Peut-être que les gens s’échauffent à cause de la proximité des élections ?” Jérémy Lagarde espéré que le voisin discours se tiendra “dans même pas 10 jours”. Cela suffira-t-il à adoucir les fantômes ?