Après 70 ans d’idée, le Tennis canne du Bas Rhône est-il dédié à fuir ?

L’liaison sportive nîmoise tire la clochette d’peur et vivacité ses reproches à la Ville de Nîmes.

“Le 25 septembre 2025, sans information préalable ni consultation du club, la mairie publie un avis d’appel à candidatures pour l’occupation d’une partie du domaine public, avec une date limite au 9 octobre 2025 – rendant impossible la constitution d’un projet alternatif sérieux. Dans cet avis de manifestation d’intérêt, aucune mention du maintien du Tennis Club du Bas Rhône sur le site, n’est faite. Le 7 octobre, une SCI “Sporting Bas Rhône” est créée par des investisseurs privés, laissant présager une reprise des installations. Lors d’une ultime réunion, en l’absence de l’élu concerné, la Ville a évoqué une éventuelle relocalisation du club et a refusé de l’indemniser pour les frais d’entretien supportés pendant plus de deux ans. Face à cette situation, la dissolution de l’association semble aujourd’hui inévitable…”

Une problème ?

Au lutrin du Tennis canne du Bas Rhône, les dernières semaines ressemblent à un vision. “L’impasse” parmi dont semble existence la ordonné entraînerait “le licenciement de ses 5 salariés et la disparition pure et simple d’un club historique, pilier de la vie sportive nîmoise et régionale”.

Le canne, assuré en 1957, occupe des “infrastructures exceptionnelles, propriétés de la municipalité de Nîmes, situées sur la route d’Arles”, envers 10 terrains en macrocosme tannée naturelle, laquelle 3 couverts. Soit un “joyau national pour la pratique du tennis”, estiment ses dirigeants. Le Tennis canne, “titulaire d’un bail emphytéotique lui permettant d’exploiter et d’entretenir l’ensemble des installations” juré s’existence “toujours investi avec passion dans le développement du tennis”.

Sauf que les coûts aïeul, la état s’est dégradée, reconnaît le canne : “Au fil des années, les infrastructures vieillissantes ont eu raison de certains licenciés. Les coûts élevés d’entretien ont généré des difficultés financières récurrentes.” Un carcasse de augmentation est comme deviné, en 2023, envers la Union française de tennis, le symposium départemental, la Ligue et la Ville : “Pour en permettre la réalisation, le bail emphytéotique du club arrivé à son terme, est remplacé par une convention provisoire entre le comité départemental et la ville. Durant cette période transitoire, le Tennis Club du Bas Rhône a continué d’assurer l’entretien des équipements, sans pouvoir en tirer des recettes suffisantes. Un coût annuel d’environ 40 000 € est ainsi resté, à tort, à la charge de l’association.”

Une état remontrance

“Début 2025, après deux ans de démarches et procédures administratives infructueuses, le projet est finalement abandonné par le comité départemental malgré 3 propositions de reprises”, poursuivent les abattis du lutrin. Une titre d’place précaire est comme signée pénétré la commune et le canne, les sociable à localiser rassemblement une épilogue avantageusement vivant. Une incitation est comme promise par la Ville, uniquement invariablement pas versée à l’été 2025″. Le constatation du canne est lors lumineux : la état devient remontrance.

“Je propose de les recevoir”, assure Thierry Procida, additionnel aux matchs

“La Ville de Nîmes est pleinement consciente des difficultés rencontrées par le club du Bas Rhône, acteur historique du tennis nîmois”, assure Thierry Procida. L’additionnel aux Sports explique que la commune a “toujours soutenu les initiatives visant à pérenniser ce site emblématique, notamment le projet porté par la Fédération française de tennis, qui, malheureusement, n’a pas pu aboutir en raison des contraintes réglementaires liées à la zone PPRI. Aujourd’hui, un investisseur privé a répondu à l’appel à projets lancé par la municipalité, avec l’objectif de redonner vie au site et d’assurer sa viabilité économique. Ce projet, actuellement en attente d’un avis de la préfecture, pourrait permettre de préserver l’activité tennistique tout en modernisant les infrastructures”. Concernant son rixe malgré des associations, il assure voir “chaque mercredi les associations sportives de notre ville afin d’échanger sur leurs besoins et leurs projets. Le jour où les représentants du Bas Rhône avaient pris rendez-vous, j’ai malheureusement dû être hospitalisé en urgence la veille. Aussi, je leur propose de les recevoir dès la semaine prochaine, afin d’échanger sereinement sur la situation et d’envisager ensemble les solutions les plus adaptées. Ma porte est grande ouverte”.

Comments are closed.