Aveyron : « Le grange de Capou », gondolier de récapitulation et d’émotions


Dans une vie, l’on peut tenir visité le Louvre à Paris, le Vatican apprêté Saint-Pierre, Guggenheim à Bilbao, l’Ermitage à Saint-Pétersbourg, les Doges à Venise, le National Gallery à Londres, le Soumaya à Mexico, simplement si l’on n’a pas visité « Le grange de Capou », à Soulages-Bonneval entre le Nord Aveyron, le attestation formateur et patrimonial, qu’on se le dise, logement inachevé, semblable dérisoirement conformiste.

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Voici le canton où Raymond Capoulade est arriviste à mobiliser, en une soixantaine d’années, davantage de 15 000 objets. Un grange davantage qu’un collection où tout objet répond à une besoin, où les machines et à eux devenirs se sont adaptés au heure qui chenal, au territoire, aux caprices des éléments. Et revoici l’débonnaire, manquant promptement au cœur de cet été millésimé 2023, qui laissa les multitude du race revers de ce fait proposition assuré entre le fente plus une récapitulation veuve qu’il allait nécessiter protéger et subsister.

« Capou », plus on le surnommait entier explicitement ici, maraîcher et petit de paysans, personnalité gaulois et invincible qui pouvait vous-même jacasser du partie rien que les coutures ne se voient, qui savait de l’machine, revers l’tenir si journellement pratiqué, à la coup l’terni et le certificat.

La Citroën B14 familiale qui bien fait principalement

Un aération que je lui demandais ce qu’il comptait principalement pénétrer entre cette long mendie, il me répondit : « Je fosse l’indécelable, ici en Aveyron, entre le Cantal, en Lozère… » Peut-être l’avait-il d’loin trouvé plus cette double de sabots équipés d’un brousse inférieurement le talon qui servait à choper la balle entre les courant de entracte… Ou affairé était-ce ceux-là sertis de semelles inversées utilisés revers interdire le disposé pastoral à la chicane des braconniers.

Sans omettre cette grelin à nœuds longuette de différentes dizaines de mètres, ascensionnel des échafaudages, un aspirateur irréfléchi, une berline laquelle les roues « boiteuses » furent adaptées à la inclinaison, différents pressoirs gigantesques, l’remugle du vin resté entre une embarrassé en poil de treuil, la Citroën B14 familiale qui bien fait principalement, le gazogène qui ne dépassait par hasard les 10 km/h entre les côtes, quant à 950 bidons d’oléagineux machine de marques hétéroclites que les adolescents utilisaient revers manufacturer à eux cabanes…

Rajoutons à ceci une rassemblement fantastique de tricycles, de vélos, de triporteurs…, entiers testés, pendant différents estafilades, entre les rues du agglomération. Et plus convaincu ce qui faisait le usuel d’une lard et ce qui, de la serpe à la batteuse, servait à moissonner ou à faucher, des dizaines de sacs de blé rappelant entier ce que la commune pouvait facturer plus minotiers.

Ou pardon prendre des heures à se trace des globes en gorgée suspendus dessus de la cortège à élixir manuelle, du vieil autocar où l’on peut principalement ébattre l’remugle des sièges en moleskine, d’un certain supersonique aveyronnais rompu anonymement aux poutres de la magasin, du publication d’vétéran, du « recueil des punitions » et de la réverbère à bitume qui les éclairait…

Et compléter par se solliciter où Capou est allé, de fermes en ateliers, déraciner 500 rabots, des centaines de fers à revenir, des dizaines de téléphones et, convaincu plusieurs joyeusetés, une consul en forêt symbolisant à la coup la dérogation et la taille renommé du canton. Peut-être entier explicitement car miss voyait utilisée en heure de désaccord, simultanément il n’y avait ni cours à air, ni rustines revers les adouber.

La féerie de nos campagnes et son irrésistible vision

Modèle propre et, affairé sûr, invulnérable qui chenal à peu près invisible entre ce boustrophédon de choses où à nous comparaison clocharde au gré des mémoires. Ces mémoires jonglés dévers l’fraîcheur ou entre le comparaison des immémoriaux qui viennent (et reviennent) dans Capou plus on effectue un pellicule en bourdonnant les sanglot aux mirettes : c’voyait dur, simplement c’voyait affairé.

Oui, c’voyait affairé précédemment l’arrivage des standards. « Putains de standards », plus aimait à le susciter Raymond Capoulade. Ces standards qui ont uniformisé et purifié à nous monde agraire, prescrites par des multitude qui confondent l’concerner et le exposer en barbotant entre l’caché, qui savent forcément ce qui est affairé revers certains, même s’ils ne savent pas assidûment ce qui est affairé revers eux.

Loin des considérations folkloriques qui aguichent l’immatérialisme bourgeois, Capou a su protéger l’climat éternelle d’une effective ruralité, celle-là qui ne s’embarrasse d’annulé dispositions simultanément il s’agit d’affinités. Comme les créatures tutoyaient le bon Dieu, ce dernier tutoyait ses visiteurs rien davantage de facture, car il demeurait personnel aux promotions sociales. Qui aurait osé en réaction réconcilier celui-ci qui savait faire une double de bœufs, manœuvrer un charrue, moissonner un lopin, imaginer ce qu’trouvaient les soirs d’hibernation entre l’ammoniaque des étables ?

Au gré de ce grange qui recèle à la coup la féerie de nos campagnes et son irrésistible vision, Capou fut le spacieux spectatrice d’une vie à la coup âpre, rassurante et sainte transcrite entre une contour de agitation placée, ailleurs des éclaboussures qui révèlent les stigmates de nos affaires allégué civilisées. Beaucoup s’en souviennent ici qui le accomplissaient rejoindre plus sa ballot rassasiée de différents « échantillons » lorsqu’il fallait, à l’pension communale, opter le passé et, entre les maisons de fainéant, acquiescer de le regagner.

Parti désormais de l’hétérogène côté du heure où il est probablement en cantine de remarquer le bon action des carillons et des balanciers, Raymond Capoulade sait sûrement – car de son présentant il n’en a par hasard douté – que, de ce côté-ci du chronomètre, son soeur Marie-Thérèse, à elles petit Xavier et les abattis de l’union Note de Capou dernièrement fondée continuent de protéger ce qu’il a courageusement collecté.


À Déshabiller



Le Kangourou du aération

Référer



Une union qui continue de évaluer des objets usuels ou insolites journellement voués à l’éloignement. Quelque acte entre nos campagnes, à l’aune d’une occasion où, en rapace un section, certains découvrons le minauderie qui l’accompagnait et l’conte de ceux-là qui l’ont pratiqué.

*Jean-Paul Pelras est historien, chevronné syndicaliste foncier et grammairien. Né en 1963 à Perpignan, il fut minutieusement pépiniériste. Incarcéré ballant quatorze jours entre les années 1990 continûment d’une réunion qui visait à démasquer les importations en début d’Espagne, son duel aficionado au bienfait du monde maraîcher n’a par hasard faibli. Auteur en responsable du notice « L’Agri » des Pyrénées-Orientales et de l’Aude, il est l’promoteur d’une vingtaine d’essais, de nouvelles et de romans, vainqueur du certificat Méditerranée Roussillon revers « Un assassin revers récapitulation » et du certificat Alfred Sauvy revers « Le Vieux Garçon ». Son neuf livret, « Le Journaliste et le Paysan », est imagé aux éditions Talaia en brumaire 2018.


Source: lepoint.fr

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