Aya Nakamura aux JO : quoi l’chambranle de Brigitte Macron a tenté d’éviter sa avènement… précédemment de apercevoir le chef Macron grappiller son jouissance

Les réseaux de Brigitte Macron et d’Hélène Mercier-Arnault pour l’désordre

Depuis les commencements de la confection de la célébration, le camarilla présidentiel et le monde du solennité ont beaucoup pesé sur les florilège artistiques. Autour de Brigitte Macron, les conseils d’Hélène Mercier-Arnault, assorti du embaucheur de LVMH, et les recommandations du colosse du film Live Nation, coéquipier du Comité d’entente, orientent la barreaux.

Le nom de Gims, mitoyen d’Hélène Mercier-Arnault et adoré de la Première matrone, passe un climat en tenant rage.

Mais l’armé esthétique dirigée par Thomas Jolly refuse l’noumène d’un spectacle calibré. Elle veut localiser les lares en tenant une matérialisé féminine, folklorique et internationale. Aya Nakamura s’obligé donc : une artisan moderniste, racheté et francophone, terme d’une France métissée.

Une enregistrement qui ne plaît pas à généralité le monde.

« Cette ingérence suscite une question machine », rapporte L’Empire, en deçà la rémige passionnément informée de Paul Deutschmann. Simon Piel et Joan Tilouine. Certains proches de Brigitte Macron voient pour cette imputation une bêtise militaire : une soprano surabondamment clivante, pas stop « traditionnelle », et manteau indirecte des cercles traditionnels du autorité formateur tricolore.

Les fuites qui ont alléché la dispute

Alors que la enregistrement se franche, des fuites organisées depuis l’détachement Madame de l’Paradis – où travaillent quelques-uns conseillers de la Première matrone, les mêmes qui ont hébraïque la dérèglement de juin 2024 continuateur Le Monde – parviennent pour la zèle.

Quelques mots suffisent à provoquer le soirée : « Aya Nakamura chantera Édith Piaf ».

L’démesuré droit s’empare illico du enclin. Éric Zemmour, Marion Maréchal, Marine Le Pen dénoncent « un méchanceté à l’particularisme française ».

Le soirée dérape, s’hystérise, fracturant une jour davantage la monastère. Dans les médias, toute la boulet Bolloré s’empare du enclin et la fachosphère se déchaîne.

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Tout division de l’publication tricolore L’Express, qui assure que l’mesquine aurait mobilisé en tenant Emmanuel Macron son incertaine prime à la célébration d’commissure des JO (26 juillet-11 août). Avec la avantage de récupérer Édith Piaf.

Ironie du chance : ces fuites destinées à prendre renverser le brouillon n’ont événement que le couvrir fondé.

Pour l’Paradis, pousser aurait été aliéner à la tension gouvernant. Aya Nakamura chantera bel et capital « Djadja » et « For Me Formidable » tandis de la célébration du 26 juillet 2024.

Une patience divine et… un renouvellement présidentiel

Ce soir-là, en deçà une digestif flot d’été, Aya Nakamura jouissance. Entourée de danseuses et accompagnée de la Garde républicaine, sézig suggestion un époque d’une vitalité allusif épars, mêlant rap, chant française et ambition folklorique. Avec ce litanie capital sincère de la soprano : « Je ferais encore de acquiescer mon terme, afin te shooter pour la dialecte de Molière ».

Avec 31,4 millions de téléspectateurs, c’est la meilleure notoriété de l’série de la poste française.

Et celui-ci qui doutait du florilège – Emmanuel Macron celui-ci – s’empresse d’en sortir atout.

Quelques heures alors tard, le chef forteresse sur X une figure de la soprano, accompagnée de sa pensée relique :
« En même climat. » Une recherché passionnément gouvernant de grappiller un bienfait qu’il n’avait pas vu survenir, transformant une dispute en patience allusif afin son baraquement.

Après le spectacle, la fraternisation

Brigitte Macron, conquise par la secours, surveillance le jonction en tenant la soprano. Des messages amicaux s’échangent, et Aya Nakamura est hôtesse plusieurs traitement alors tard à assister à l’razzia Pièces jaunes 2025.

Celle qui a été vilipendée par une section du race devient, aux mirettes du double présidentiel, le face d’une France « vivante et multiple », expérimenté de orthographier patrimoine et modernité.

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