Premier additionnel d’André Mandement, Christophe Delahaye, jusqu’comme amorti comme l’succursale qui secoue la commune (anathème afin guérilla d’une informatrice comme le procureur en même temps que recherche en conseil), a livré, hiérarque, sa appréciation comme un avertissement lequel voilà l’entièreté :
“Premier adjoint depuis plus de dix-sept ans, j’ai à cœur de servir Muret avec loyauté, exigence et engagement. Face à la situation que traverse aujourd’hui notre collectivité, il me semble nécessaire de prendre la parole, par devoir de clarté et de responsabilité. Je veux d’abord exprimer mon profond respect pour le courage de la plaignante. Sa démarche doit être accueillie avec bienveillance et considération. Je tiens également à saluer la dignité des deux élues qui ont choisi de s’exprimer en conscience. Leur parole témoigne d’un attachement sincère à l’éthique publique.
Ma démarche ne relève d’aucune manœuvre politique ni d’aucun complot. Soyons clairs : un complot est une action planifiée et dissimulée visant à nuire, la situation sur Muret ne rentre pas dans ce cas-là, et je ne le cautionnerai jamais, tout comme je ne tolérerai aucune atteinte à la dignité des femmes. La justice doit pouvoir agir en toute indépendance. Aujourd’hui, notre responsabilité collective est de restaurer un climat de confiance, de respect mutuel et de transparence. Alors qu’une liste d’extrême droite tente de s’imposer à Muret, il est plus que jamais nécessaire de rassembler toutes les forces fidèles aux valeurs sociales, écologistes et humanistes. Je mets également en garde contre toute tentative d’exploitation politique de cette situation. L’éthique publique ne doit jamais devenir un instrument de calcul électoral. Elle doit demeurer le socle de notre action commune, au service des Muretains.”

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