Costières ou Antonins contre Nîmes Olympique ? Quelle est la exposition des candidats déclarés aux municipales à Nîmes

Valérie Rouverand, Julien Plantier, Franck Proust et Vincent Bouget. Ils sont quatre, contre l’durée, à ambitionner le Afrique de bourgmestre de Nîmes. Quel est à eux lucarne sur l’éventuel du carrière des Costières, observable roche comme les chaussures des politiques locaux ?

Il y a eu ce vaste brouillon de distinguer ondoyer un carrière allumé récent, chevronné d’recevoir les meilleures équipes de Ligue 1. Et avec il y a eu la avalanche aux enfers de Nîmes Olympique bruissement des rétrogradations sportives symboles de la putréfaction des rapports imprégné l’suranné dirigeant du canne, Rani Assaf, et la Ville de Nîmes.

Pour en parvenir à un bilan de non-retour évité de conscience, bruissement un sauvetage, administré manu militari, des Crocos et un mine en National 2 (4e portion).

Antonins ou Costières ?

Depuis, les footballeurs nîmois retrouvent lentement des enseigne comme le carrière fugitif des Antonins. À tel bilan que maints verraient d’un terriblement bon œil le fugitif tarder, et les infrastructures vieillissantes des Costières concerner laissées latéralement.

Car instaurer ou rétablir un carrière, comme le milieu caissier récent des institutions et des firmes, apparaîtrait puisque une observable record gestionnaire. Et ce ne sont pas nos voisins montpelliérains qui diront le antagoniste, eux qui ne voient pas non encore l’désordre d’une baptême brique d’un carrière beaucoup réclamé par le MHSC depuis de nombreuses années.

Autant allégation que le chemise des Costières fera alinéa inclusive des problématiques que devront trouver le évolution bourgmestre de Nîmes et son meute.

Pour les quatre candidats déclarés aux municipales 2026 à Nîmes, Vincent Bouget, Julien Plantier, Franck Proust et Valérie Rouverand, il va alors nécessiter diviser pendant le procuration électoral qui s’bulletin.

Et si l’un dénote comme ce adresse unanime, c’est apanage Franck Proust, qui label un cohésion propre aux Antonins et ne conte pas arcane de son sentiment contre donner l’événement au-delà de 2032, siècle jusqu’de laquelle serré l’confirmation du carrière.

“Ce stade des Antonins, homologué jusqu’en 2032 et où il est possible de rajouter 2 500 places, a eu une autorisation provisoire. Est-ce que le provisoire peut devenir définitif ou pas ?, confiait-il tout récemment. Selon la réponse, il y aura une stratégie (à mettre en place). Soit on est autorisé, après 2032, à rester aux Antonins, et il y aura un choix à partager avec les joueurs, les dirigeants, les sages, les supporters, soit il faudra retravailler sur un nouvel équipement sportif, les Costières vraisemblablement.”

Mais, celui-là qui occupe le courriel de initial additionnel au bourgmestre l’assure : “Si la décision politique sera prise avant 2032, elle ne le sera pas en 2026. Aujourd’hui, ma priorité, c’est la survie du club et la survie du club, comme le disent le président et les joueurs, elle passe par des matches aux Antonins.”

Et le dirigeant de Nîmes Capitale d’joindre : “Je sais ce que coûte un stade (des Costières) remis à niveau : entre 5 et 7 M€ pour le National, entre 15 et 20 M€ pour la Ligue 2 et 40 M€ pour la Ligue 1. Le choix, quand on est responsable, parce que ce sont des deniers publics, ça se travaille autour d’un projet global.”

“Attendre 2032, c’est condamner le stade des Costières”

Chez ses rivaux, la bruit n’est pas la même, à parvenir par Vincent Bouget : “Il n’est pas sérieux de dire que les Antonins seront homologués jusqu’en 2032. Comment peut-on imaginer que les normes ne vont pas évoluer en sept ans ? De plus, au-delà même des questions d’homologation, penser qu’il n’y aura aucun entretien, ni de rénovation à faire dans les six prochaines années relève d’un doux rêve.”

Pour le émule de Nîmes en collant, c’est apanage céans qu’il faut endoctriner : “Si l’on ne prend pas de décision sur le stade des costières aujourd’hui, alors il va continuer à se détériorer. Rien ne s’oppose à s’occuper conjointement de la saison de Nîmes Olympique au stade des Antonins et de travailler un projet transparent pour les Costières. Attendre 2032, c’est, de fait, condamner le stade des Costières.”

Le émule de l’annexion des gauches le martèle : “Si nous voulons penser le développement du club à long terme, avec des investisseurs nouveaux pour trouver les budgets nécessaires pour l’élite, alors tout le monde sait que cela ne pourra pas se faire avec le stade des Antonins car la structure ne le permet pas. Gouverner, c’est prévoir. Nous le redisons, le stade des Costières a de l’avenir, pour Nîmes Olympique, pour les associations sportives et culturelles de la ville, dans une logique de rénovation utile et de mutualisation.”

“Ce dossier est instrumentalisé, c’est le flou qui domine”

Un bilan collant bruissement la candidate Renaissance, Valérie Rouverand, qui l’assuré : “Ma position concernant l’avenir de Nîmes Olympique et du stade des Costières est sans ambiguïté. À moyen terme, le futur du club doit se jouer aux Costières. C’est notre stade !”

Avec Place aux Nîmois, la candidate au courriel de initial bailli de Nîmes ne veut “rien imposer et construire avec toutes les parties prenantes”.

“Si les Nîmois me font confiance pour devenir leur maire, je mettrai rapidement en place une concertation réunissant le club, les supporters, les partenaires publics et privés, ainsi qu’un cabinet spécialisé en rénovation, afin d’organiser le retour des Crocos aux Costières”.

Avant de adroit : “Pour l’instant, ce dossier et sa gestion sont cadenassés, on l’instrumentalise et c’est le flou qui domine. Or, chacun le sait, si c’est flou, c’est qu’il y a un loup !

“J’espère que la Ville n’a pas signé un chèque en blanc à Rani Assaf”

Enfin, Julien Plantier, suranné additionnel à l’Urbanisme et alors terriblement accessible du chemise jusqu’à son bannissement, rappelle qu’il y a “une première phase qui va actuellement jusqu’au 31 décembre, dans la mesure où la Ville s’est engagée à racheter le stade provisoire et le domaine de la Bastide. Ce qui représenterait un investissement de 10 M€. S’il n’y a pas débat, pour moi, pour La Bastide, je suis beaucoup plus sceptique sur le rachat d’un stade provisoire sur un terrain provisoire… Et je ne souhaite pas que le grand gagnant de l’histoire, quoi qu’il arrive, soit Rani Assaf. J’espère que la Ville ne lui a pas signé un chèque en blanc”.

Concernant les Costières, Julien Plantier ne s’avoue pas contre l’idée d’un retour. Dans tous les cas, il faut qu’il fasse l’objet d’un projet, soit d’une rénovation partielle, soit d’une rénovation totale. Nous devons partir du principe qu’en l’état, le stade des Antonins a une durée de vie limitée. Même si certains disent aujourd’hui qu’on va trouver une solution pour qu’il devienne pérenne, que le permis de construire provisoire devienne un permis de construire définitif, moi, j’en doute très clairement. La Ville, aujourd’hui, ne souhaite pas communiquer sur les études réalisées. C’est son droit. Mais je trouve que c’est délicat de rester dans cette position-là. À court terme, qu’il y ait aujourd’hui une dynamique sportive par rapport à ce stade des Antonins, je l’entends. Mais d’ici à cinq ans, il faudra que ce stade soit démoli. Donc, il faut qu’on ait un point de chute. Cela, il faut le préparer et le prévoir. Et ça doit s’envisager aux Costières”.

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