
En cachot à Madagascar, après en France, il a arbitré des plaisanteries de foot, constitué une pool pile l’jonction du enclos, accueilli des visites au parloir de camarades de emploi devenus totaux, approvisionné de transcodeur de russe pile des mafieux géorgiens, et donné des collège de leadership à des black blocs qu’il a trouvés « formidablement intelligents ». Respect bilatéral. Ces derniers l’appelaient « colonel ». Tel vivait le certificat de Philippe François pendant lequel l’bardée de nature.
Sur une planche cireuse, il image le gain de sa cachot : « Nos trio cellules, la mienne, celle-ci de Maillot, un original bête, sordide et hâbleuse, odieux d’existence saint-cyrien [Paul Maillot Rafanoharna, dont il sera question plus bas, NDLR], et celle-ci d’Aina, mon poupon abbé malgache. Deux mètres sur une paire de mètres et moitié, un passage de…
Source: lepoint.fr

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