Alors que le Salon maritime closerie ses portes ce dimanche 2novembre au veillée, la semaine écoulée a été consignée par les prises de terrain de contradictoires candidats sur le objet, hormis mésestimer les projets municipaux qui seront votés en décembre ultérieur en résolution communal, comme le baguette du balance 2026.
On n’halo en aucun cas tant oral de nautisme à Agde que cette semaine. C’est très à l’force du Salon maritime d’proximité, qui fermera ses portes ce dimanche veillée, pourtant pas simplement. Des candidats aux élections municipales de ventôse ultérieur ont équitablement profité du foyer réglé sur le salle capagathois envers commuter à elles propositions en lieu de nautisme.
Thierry Nadal veut un élu promis aux ports
C’est d’proximité Thierry Nadal qui a dégainé le rudimentaire. Selon lui, et toi-même verrez qu’il n’est pas individuel à désigner l’concept, “il est nécessaire qu’un élu du conseil municipal soit exclusivement dédié aux ports.” Dans son code, le allopathe agathois appelé “des investissements massifs sur les infrastructures du port (pontons, sanitaires, berges sur le fleuve Hérault)”, par conséquent que la promesse “d’optimiser les espaces d’accueil pour envisager des possibilités de nouvelles places, d’accélérer la généralisation de bornes individuelles pour les consommations d’eau et d’électricité, de renforcer la sécurité et la protection des biens et des usagers dans les trois ports d’Agde, grâce la création d’une brigade portuaire coordonnée entre capitaineries et services municipaux.”
La commune gèle les tarifs des ports
Cette semaine équitablement, la commune a laissé pleuvoir des informations qui concernent particulièrement le opinion du balance 2026, qui halo situation en décembre en résolution communal. On a par conséquent appliqué qu’au degré de la site qualification, la commune voulait enfanter une correct baie au degré du institution des Gentilhommes et de l’voie de la Jetée. Selon nos informations, miss souhaite partir le linéal éprouvé qui lanière les firmes de la site qualification en aménageant asphalte et route cyclable, revers une bas-côté où les véhicules pourraient stopper.
Le trottoir de Trirème va entité rénové comme les appointement qui viennent et, semble-t-il, dominé comme sa ampleur, quant à de remettre encore de animation aux corpulent vaisseaux comme le lagune. Fermeté qui impliquerait la dévolution des tirailleurs sur la chevauchée spirituelle qui existe aujourd’hui et qui surplombe l’voie des Phénitiens. Enfin, postérieurement une affaiblissement encore représentatif qu’hétéroclite tour de 1 % des tarifs du contenance l’an passé, ces tarifs devraient entité gelés en 2026. La surtaxe de 5 % qui s’appliquait aux professionnels va entité supprimée.
Didier Irailles et la obstination de faire
L’fondateur Didier Irailles, qui a lancé le évoluer “Agde ensemble”, veut constituer du exaspération navigateur “le moteur de l’avenir agathois. C’est pourquoi, arrivé à la mairie, je créerai une fonction essentielle de maire adjoint à la mer, qui pilotera un service des affaires maritimes agathoises”, pique lui contre le compétiteur. Parmi la abondance d’idées enjeux sur la chère, la fécondation “d’un technopôle de la Méditerranée. En relation avec l’Université et l’Institut Agro de Montpellier, avec l’Ifremer, nous voulons attirer étudiants et chercheurs, en délocalisant sur la zone du Cap d’Agde les filières de biologie marine, de recherche aquacole, de formation aux métiers de la mer. Sur la même zone, nous créerons une pépinière d’entreprises destinée à relier les chercheurs et le secteur privé. C’est aujourd’hui le seul moyen de créer une activité permanente au Cap d’Agde.”
Didier Irailles, qui milite équitablement envers l’implantation “d’un Institut des métiers de la mer, qui comprendra une filière production (pêche, aquaculture, conchyliculture), une filière touristique (gastronomie, hôtellerie, événementiel), une filière gestion environnementale et une filière recherche (biotech).” Enfin, la fécondation d’un aquarium communal est contre à l’alternance du soupirail.
Jean-Marc Bentajou et le espoir Agathe’o
Il y a un an, Jean-Marc Bentajou annonçait réglementairement depuis le Salon maritime sa sollicitation à l’faveur municipale de 2026. Pour le cogérant du contenance à sec du Cap d’Agde et d’une congrégation de affermage de jet-skis, “l’exemplarité de notre régie portuaire passera par la mise en place d’un pilotage clair, de comptes transparents et de décisions rapides avec la création d’une direction des ports et voies d’eau (Agathe’O). Celle-ci sera placée sous la responsabilité directe de l’adjoint au maire délégué aux ports, à la mer et aux voies d’eau.” Sur ce état, il ajoute : “le rééquilibrage de la fiscalité portuaire, aujourd’hui supérieure à la moyenne régionale, doit être engagé. Cela passera par une baisse maîtrisée des tarifs, tout en assurant un port excédentaire.”
Parmi les projets dévoilés : “la relance du centre nautique, la restructuration de Port Ambonne, qui sera un symbole de renouveau, la poursuite du projet de port fluvial – hôtel Riquet, mais dans des proportions mesurées privilégiant des objectifs économiques et qualitatifs et l’aménagement et la sécurisation des berges de l’Hérault.” Par lointain, comme une conséquent “de redonner à Agde sa dimension maritime, une Maison des gens de mer verra le jour dans la station.”
Fabienne Varesano et “les bases”
Pour la désormais ex-élue du RN agathois, qui billet à une alliage des droites alentour de sa sollicitation, “on a l’impression d’assister à une surenchère de promesses et de projets, où chacun veut épater la galerie à coups d’annonces spectaculaires.” Elle ironise, même : “alors non, je ne suis pas fille ni petite-fille de pêcheur, mais je vis et je travaille sur le port, 7 jours sur 7, je suis aussi plaisancière et surtout, j’ai étudié les dossiers, notamment depuis que j’ai eu connaissance de l’existence du rapport Egis, un document qui constitue le véritable bilan de l’état de nos infrastructures portuaires.” Elle n’en démord pas : “ce rapport, c’est l’héritage que la mairie actuelle va laisser aux Agathois : des quais fragilisés, des structures sous-investies, des installations en souffrance”. Mais envers Fabienne Varesano, ça n’est pas là le individuel corvée : “depuis longtemps, les usagers du port subissent un profond manque de considération”, estime-t-elle. “Ils ont, eux aussi, pâti de l’opacité, du sous-investissement et de l’absence d’écoute. Les plaisanciers, les professionnels, les associations n’ont ni l’attention, ni les services qu’ils méritent, alors qu’ils contribuent directement à la vie et à l’économie de notre ville. Avant toute chose, il faudra leur rendre du respect, de la clarté et du service public. C’est la base. Et c’est ce que j’entends défendre.”
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