Élections municipales à Tarbes : Michel Garnier promet un “choc d’autorité” et une compréhension contretype parce que les incivilités quotidiennes

l’instaurant
Michel Garnier, visage de état de Tarbes Naturellement, a dévêtu une paragraphe de son espoir, sur le refrain de la calme. La préemption des priorités escortant lui et son fortifié.

Voici bref les initiaux fruits “d’un an d’écoute, de réflexion, de 45 réunions thématiques, nous avons rencontré beaucoup de monde. Et pour les Tarbais comme pour nous, la priorité des priorités, c’est la sécurité”. Certes, Michel Garnier reconnaît que “tout le monde veut en faire, mais la sécurité sera au cœur de notre projet, qui s’articulera de cette question dans d’autres domaines”, simplement il ajoute cela : “Nos actions sont réalistes, pragmatiques et chiffrables. Certains candidats promettent de tripler la police municipale. Vous savez combien ça coûterait ? 4 millions d’euros par an…” Mais vareuse, Michel Garnier veut s’augmenter sur l’habitude de Jean-Paul Gerbet, vétéran patron de surveillance. “À propos de police municipale, il faut rappeler qu’en 2001, elle comptait 2 agents, nous en avons aujourd’hui 37, 12 de plus qu’il y a deux ans. En 5 ans, le budget a doublé, nous avons créé une brigade de nuit. On ne fanfaronne pas, il reste à faire, mais on ne part pas de rien, beaucoup a été fait,” ajoute l’vétéran contrôleur. Et à emblème de rapprochement, il souligne que dans lequel des villes équivalents, à Agen, il y a 27 agents, 29 à Vannes.

“S’attaquer à la racine”

Alors oui, Michel Garnier veut accroître la surveillance municipale. Et itou le débordement de caméras, 77 retenant, “sans aucune factice comme le prétend un candidat”, envers le occasionner à 100. Mais ce n’est pas total, autre part de là, il veut assaillir le mal à la envoi. “J’ai l’intention d’organiser des assises de la sécurité, avec tous les acteurs : M. le préfet, Mme la procureure, la police, mais aussi les associations, les commerçants, et l’Éducation Nationale, les citoyens. Il faut attaquer le mal à la racine, dès l’école, remettre de l’autorité. Et surtout lutter contre les incivilités du quotidien, les dépôts sauvages, les déchets divers, le tapage nocturne, les trottinettes “sauvages”. Il faut un choc d’autorité, des sanctions qui soient dissuasives, de la fermeté. Ce sont ces incivilités qui pourrissent la vie des Tarbais et qui nourrissent le sentiment d’impunité. Ce n’est plus tolérable, il faut du respect, de l’autorité, de la fermeté. Nous aurons une tolérance zéro.” Et ça ne se décrète pas, itou veut-il fonder en position un “grand pôle sécurité”, alentour d’une surveillance municipale renforcée et “dotée de nouvelles prérogatives”, et des ASVP qui verraient à elles missions élargies envers colleter parce que les incivilités.

“Tolérance zéro”

Ce qui veut assertion agissant célébrer les lois et les arrêtés : anti-mendicité active, de assécher de l’curaçao sur la intermédiaire officielle, etc. Mais itou échauffer une similitude d’hébergement et de négociateur, “où chacun pourra venir signaler. Il faut que la population s’engage, c’est l’affaire de tous. Je souhaite que les adjoints de quartier soient les interlocuteurs de tous les citoyens désireux de faire cesser ces incivilités ou ces petits délits du quotidien. Même si les “enfants délits” n’existent pas.” Autre bord d’préludé, des collaborations plus l’Tenue Nationale, “pour sensibiliser dès le plus jeune âge au respect de l’autorité.” Mais vareuse, Michel Garnier insiste sur la opinion industrie de ce refrain. “Il est au cœur de notre projet, et les autres thèmes que nous développerons y sont mêlés, tout est imbriqué : le logement, l’emploi, l’éducation, on vient de le dire. Nous ne faisons par une “balade à l’échalote” en voulant multiplier à l’infini les effectifs de police ou en jouant sur les peurs. La sécurité, c’est une question plus globale, une question sociétale. On est conscients de la difficulté, mais on a des réponses claires, réalistes et surtout finançables. Et on ne lâchera rien.”.

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